top of page
White Structure

16 results found with an empty search

  • Page vierge | Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon

    A ce niveau de l’exposé, une question se pose : comment ces deux personnages se sont-ils connus ? Est-ce lors de la première croisade ? Et qu’ont-ils fait entre 1099 et 1118 ? Ils seraient revenus en France, puis repartis en terre sainte, mais pourquoi 18 ans plus tard ? Ne serait-ce pas plutôt deux membres d’une même famille que ces deux-là ? Il se trouve que Geoffroy de Saint Omer a un frère (entre autres) que l’on nommait Hugues « dit le Païen ». Dans la famille des Saint Omer, on trouve aussi un neveu de Geoffroy qui s’appelle encore Hugues « dit le Païen », fils de Gilbert de Saint Omer. Ils font tous partie de la grande famille des Châtelains de Saint Omer, dont leur père Beaudouin épousa Mahaut De Créquy, d’une grande famille de nobles de Flandres et d’Artois. Quelques historiens, n’arrivant pas à cacher l’existence de ce frère Hugues « dit le Païen », concluent qu’il est fait seigneur de Tibériade puis meurt en Palestine très tôt. Ceci arrangerait tout le monde, surtout les champenois, mais malheureusement, d’après certains chroniqueurs de l’époque, c’est Hugues de Fauquembergues, probablement aussi de la famille des Saint Omer, qui est fait Prince de Tibériade et qui meurt en Palestine. Il est toutefois possible qu’un certain Hugues de Payns, vassal du Comte de Champagne, ait fait partie de la première croisade, encore qu’aucun écrit ne relate de faits d’armes de ce personnage. Déjà une question : pourquoi un vassal de Châtelain deviendrait Maitre de l’Ordre, alors que d’autres châtelains sont présents à l’initiation du projet. Possible également qu’il ait connu Geoffroy de Saint Omer a ce moment là et que rentrant en France, il rencontra Bernard de Clairvaux, ami du Comte de Champagne ; que celui-ci lui demanda de créer une milice et qu’il eut la présence d’esprit de prendre avec lui Geoffroy de Saint Omer, pour sa bravoure au combat. Il eut pu prendre également son Frère Hugues « dit le Païen », meilleur combattant, mais je rappelle que l’histoire le donne pour mort, qui en 1102 en Palestine, qui en 1106 en Turquie. Faisons un aparté : les seuls textes que nous possédons de l’époque sont ceux de Guillaume de Tyr, chroniqueur. Guillaume de Tyr naquit en 1130, il fut le précepteur de Beaudouin IV, roi de Jérusalem, puis archevêque de Tyr vers 1175. Il mourut en 1184. Naissant en 1130, il ne peut se mettre à l’écriture vraisemblablement que vers 1155-1160, soit presque 40 ans après les faits de la création de l’Ordre. Il écrivit une « Historia de la terre sainte » mais cet ouvrage ne fut pas retrouvé. Son autre ouvrage, Historia rerum in partibus transmarinis gestarum, fut transmise, mais inachevée. Un autre historien, Jacques de Vitry, 1160-1240, évêque de Saint Jean d’Acre, écrivit beaucoup sur les saints de l’église catholique (notamment un acta sanctorium) mais peu sur les croisades, à part quelques lettres. Voila tout ce que nous avons sur cette époque. Il faudra donc faire avec ce que nous trouverons, c'est-à-dire pour la plupart des documents soit d’état civil, soit actes notariés ou choses similaires, soit lettres échangées entre les ecclésiastiques, les rois et la Milice du Temple. Si je reviens sur Hugues de Payns (de champagne) on trouve des actes le mentionnant, notamment son mariage, à une période où il devrait être en Terre Sainte. De plus, n’oublions pas qu’après 1314, les communes ont détruit la totalité des documents ayant rapport de près ou de loin à l’Ordre du Temple, mais nous y reviendrons. Nous trouvons, par contre un acte de donation d’une église à Cassel (nord) en présence de Hugues, Maitre du Temple, et Geoffroy de St Omer. Mais rien de ce personnage de Champagne ! following Back Home

  • Servir | OSMCS

    Servir Frère Joël Magnet Réflexion d'un vieux serviteur sur la notion de « servir » Servir, ce mot permet de préciser qu’un individu ou un sujet fait partie intégrante d’une entité, telle qu’une entreprise, une organisation, une association, ou même une famille. Choisir de servir constitue un choix éclairé, renforçant notre identité et notre place dans le monde. Dans un monde en constante évolution, la notion de service prend une importance capitale. Servir les autres ne se limite pas à un simple geste altruiste, mais elle est au cœur même de notre existence. Servir, c’est s'acquitter envers quelqu'un, une collectivité de certaines obligations, leur consacrer son activité : Bien servir sa patrie. Mais servir, c’est aussi apporter à quelqu'un, quelque chose, son aide, son appui : Ne dit on : Il est toujours prêt à servir ses amis., Servir, c'est sortir de notre zone de confort pour aider, soutenir et être bon avec les autres, tout en étant sensible à leurs besoins. Le chevalier moderne pour être amené à servir, se doit d'avoir des valeurs éthiques et spirituelles, tels que honnêteté, intégrité, générosité, résilience, compassion, dévouement, loyauté, respect, justice et foi. La chevalerie n'est pas morte, écrit Olivier de Lespinats dans son dernier livre, elle a simplement pris de nouvelles formes, nous invitant à devenir des défenseurs d'un monde meilleur, armés de valeurs profondes et d'un engagement sincères envers la justice , la fraternité et la dignité humaine. Dans un monde en constante mutation où les repères moraux et étiques semblent parfois s’effriter, les valeurs chevaleresques apparaissent comme une ressource précieuse. La chevalerie nous enseigne que chaque petit geste compte et que l'action collective peut transformer le monde. La chevalerie moderne est marquée par une grande diversité, car elle peut être incarnée dans différents contextes et domaines de la vie, tels que le sport, les arts, la politique,les affaires, les relations sociales et les interactions personnelles. Choisir de devenir chevalier aujourd'hui, c'est vouloir se révéler un guide pour les autres, un défenseur de la justice, et un acteur de la paix, tout en cherchant constamment à cultiver ses propres vertus. Roland J. Maroteaux dans un ouvrage, précise : La chevalerie reste une immense fraternité qui rassemble des hommes et des femmes partageant le même idéal de paix et d'amour. Ne pas perdre de vue qu'être chevalier c'est avant tout, mettre en application, au quotidien, certaines valeurs délaissées, c'est à dire toutes les valeurs humaines jugées indispensables à notre civilisation mentale et spirituelle, en quelque sorte : servir,…en « s'adaptant pour réussir» dans l’action entreprise. La question pourrait se poser : Pourquoi envisager de servir, aujourd’hui ? Dans notre civilisation actuelle, il semblerait que l’individualisme ait pris le pas sur le sens de l’entraide, de l’assistance, de l’aide, du secours, sur le fait tout simplement, de rendre service ! Ce genre de situation, que l’on pourrait nommer « l’individualisme » pourrait conduire au fait que certains, beaucoup trop, pensent que tout un chacun n’ a pas besoin d’autrui pour vivre, pour exister, pour évoluer, alors qu’il n’en est nullement le cas. Malheureusement, nous connaissons tous quelqu’un, à l’apogée de sa réussite (en tous genres) qui a , ou qui a eu , une attitude dédaigneuse, irrespectueuse, conquérante, pour parvenir à ses fins et qu’à un moment de son existence cette personne s’est retrouvée dans un besoin (en tous genres). Il n’est jamais trop tard pour changer, pour aménager son comportement, mais que de temps perdu, de forces dépensées, de mépris adressés, pour à un moment donné de la vie, juste pour être ou avoir été, paraître, et pouvoir se targuer d’avoir réussi, en écrasant parfois les autres sur son passage sans vouloir l’admettre, bien entendu ! Un dirigeant n’est rien sans son entourage, ses collaborateurs, ses salariés, ses clients, et vice et versa, la base a, à un moment donné, besoin d’avoir recours à l’étage supérieur, à la reconnaissance, à la rétribution, par son employeur décideur ! Il est écrit dans de nombreux endroits « un jour viendra….. » où tout un chacun pourra avoir besoin de l’aide de son prochain, et parfois plus vite que l’on ne le pense, que l’on ne l’imagine. Alors pourquoi attendre que le jour du besoin d’autrui se fasse sentir, pour se culpabiliser et se dire « ha, si j’avais su, lorsque je le pouvais, j’aurai dû m’engager dans telle ou telle voie, dans telle ou telle action, au lieu d’attendre aujourd’hui que l’on me vienne en aide, ou que je ne puisse plus agir car mes forces actuelles m’abandonnent pour envisager de faire quelque chose ». Chacun d’entre nous connaît autour de soi quelqu’un(e) qui pourrait s’investir, apporter du mieux être à autrui, modestement, à son niveau, mais qui ne voit pas l’utilité, la nécessité , de se mettre en mouvement. C’est bien l’expression adaptée à retenir « se mettre en mouvement » , qui doit retenir l’attention , et créer un déclic pour s’investir. Car le laxisme, c’est aussi à quelque part une forme, d’individualisme, de complicité silencieuse au laisser faire, tout en paraissant à l’écoute et à la compréhension d’une situation . Ha voir, écouter, s’éclairer, agir, seraient peut-être des actions à inscrire dans le répertoire de réflexion de certains ! Servir les autres est essentiel pour une vie épanouissante. Cela signifie adopter une habitude, pas juste faire un geste ponctuel, c’est être utile à quelqu’un ou à quelque chose. Servir, c’est aussi savoir donner de son temps, être bénévole, et ainsi être accompli. Bien entendu, à l’impossible nul n’est tenu; on ne peut pas exiger de quiconque ce qui lui est impossible de faire !

  • en lire plus | Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon

    The First Crusade ended with the capture of Jerusalem in 1099. Following this first victory, Godfrey of Bouillon was offered the title of King of Jerusalem; he refused it in favor of accepting the title of attorney of the Holy Sepulchre. This already gives us an idea of his initial goal. He established the Order of Canons of the Holy Sepulchre , an order whose mission was to assist the Patriarch of Jerusalem in his various tasks. A number of men-at-arms, from the crusade, then entered the service of the Patriarch in order to protect the Holy Sepulchre . This institution still exists today. Godfrey of Bouillon returned to France and offered his mother a precious relic of Christianity, the Holy Blood. In Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais, France), a chapel was dedicated to this relic; everything disappeared during the Revolution in 1789. It was Godfrey of Bouillon's brother, Baldwin of Boulogne, who was elected King of Jerusalem. A little later, when the Order of the Hospitaller , recognized in 1113 , was charged with looking after pilgrims coming from the West, an idea was born: to create a militia of Christ (militia Christi) which would only deal with the protection of the community of canons of the Holy Sepulchre and the pilgrims on the roads to the Holy Land, then prey to local brigands. Thus, the canons would deal with liturgical affairs, the Order of the Hospital with charitable functions and the militia of Christ with the purely military function of protecting the pilgrims. Meanwhile, in France, in 1098 We are witnessing the founding of the Order of Cîteaux (the Cistercians) by Robert de Molesme. This Order would later owe much to a certain Abbot Bernard of Clairvaux, an abbot who would later become Saint Bernard. 1118 Death of Godfrey of Bouillon. 1119 Coronation of Baldwin, King of Jerusalem. At this time the King of Jerusalem was elected. 1119 Foundation of the Order of the Temple by Hugues de Payen (who would be from Champagne?) and Geoffroi de Saint-Omer. Several historians disagree on the date; some speak of 1118, others of 1119. A change in the calendar, which no longer begins in March but in January, does not facilitate the study. This is of little importance; the true creation took place during a council in Troyes in 1129. For my part, I will remember 1118, the year of the death of Godfrey of Bouillon, and therefore it is quite probable that the creation of the Order began as soon as the person who was certainly its instigator died. The most important thing here is the founding of the Poor Knights of Christ (as it was originally called) by two people, namely Hugues de Payen (Hugo de Paganus) and Geoffroi (or Godefroy) de Saint Omer. following Back Home

  • Nos Oeuvres Humanitaires | Osmcs

    l'osmcs oeuvre dans tous les pays où il est représenté : épiceries solidaires, recyclage et distribution de lunettes, aide pour nos ainés, dons divers pour les démunis OUR HUMANITARIAN WORKS Help the community We are not subsidized, and only have our contributions, your donations (tax deductible) and the proceeds from the sale of a few items http://www.osmcs.org . Make a donation (tax-deductible) Nos partenaires : What we do: Notre but : l’aide humanitaire de proximité - Aide pour centres d’adultes handicapés - Participations diverses (achat de fauteuil roulant spécialisé, handisport...) - Dons aux œuvres sociales des villes (CCAS, épiceries solidaires…) - Aide dans les maisons de retraite - Bénévolat divers - Aide aux particuliers dans la détresse - Création d'épiceries solidaires locales - Partenariat avec l'Ordre Lafayette Monde -Partenariat avec l'association Lou Recantou Del Pompiers (Marseillan) - Aide à d'autres associations (Madagascar, Togo, Bénin...) - Création d'une O.N.G. au Bénin : "l'Union des Chevaliers de Salomon du Bénin" à Cotonou - Participations au Téléthon... Collecte de jeux éducatifs, crayons de couleurs, livres de coloriage, peintures, ardoises, craies, ... pour un centre d'enfants handicapés au Maroc (Casablanca) MADAGASCAR Donations to the AKAMASOA association of Father Pedro Opeka BENIN - COTONOU Collection of glasses for on-site distribution BENIN - COTONOU Christmas gift collection for the needy BÉNIN - COTONOU Union of the Knights of Solomon of Benin - NGO to help young girls escape poverty by teaching them a trade Contact Benin Collecte de matériel médical pour l'Afrique (Pansements, compresses, seringues, divers consommable médical, cannes, déambulateurs, fauteuils roulants, ...) Le 26/10/25 est parti un container de 40m3 pour le Liberia, en association avec l'association Lou Recantou del Pompiers ASSOCIATION SAINT PIERRE DE RHÈDES - O.S.M.C.S. Solidarity grocery store which distributes around 10 tonnes of food locally each year (Grand Orb - Hérault - France) Contact St Pierre de Rhedes FOR UKRAINE Collection of medical equipment Christmas gift distribution (France) HAITI Caring Hands Foundation Back Home

  • histoire de l'ordre du temple et de l'osmcs

    l'osmcs se veut être en lien généalogique avec l'Ordre du Temple d'Hugues de Payns HISTOIRE DE L’ORDRE DU TEMPLE Introduction Here, first of all, is what we generally find in our history books, dictionaries and the like: The Order of the Temple was a religious and military order derived from the Christian chivalry of the Middle Ages , whose members were called the Templars. This order was created on the occasion of the Council of Troyes in 1129, from a militia called the Poor Knights of Christ and the Temple of Solomon. It worked during the 12th and 13th centuries to accompany and protect pilgrims to Jerusalem in the context of the Holy War and the Crusades . The order became a financial power, even leading it to carry out transactions with certain kings or to have custody of royal treasures . After the final loss of the Holy Land in 1291, the order fell victim to the struggle between the Papacy and the King of France, Philip the Fair . It was dissolved by Pope Clement V in 1314. The tragic end of the order led to much speculation and legend about it. This is how we sum up two centuries of history, adding the massacres perpetrated by the crusaders! So, first of all, a clarification: in 200 years, there have only been 20 major battles and the prize for the deadliest century goes to the... 20th century! But history is not invented. It is written day by day. And so it shall be. It will be rewritten every time knowledge increases and as discoveries are made. The invention or supposition will be nothing more than a novel intended for one's own pleasure or worse still, for the manipulation of the ignorant. The proof, or even the beginning of proof, will support the true historical account. No one holds the truth, except as regards things of the past, provided they know the sources, hold or have read the documents relating to them, excluding, of course, all the fakes fabricated to deceive honest people. The author's deduction can only exist if it is supported by authentic, verified facts... "You cannot know the unknown if you cling to the known." Robert Fisher – The Knight in Rusty Armor following... Back Home

  • Page vierge | Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon

    In conclusion, on the Order of the Temple: Sur le Sigilum, le sceau des Templiers (2 chevaliers sur un même cheval) : que veut-il dire ? J’ai aujourd’hui l’intime conviction, comme certains historiens, qu’il s’agit de la reproduction des 2 frères de St Omer revenant d’Orient. D’abord parce que tous les sceaux des chevaliers les représentent allant de gauche à droite et épée à la main, alors que celui du Temple est inversé, donc revenant d’Orient, sans épée, donc sans intention de combat, mais avec une lance Ensuite, un autre sigilum de la même époque faisait apparaître le Dôme du Rocher, donc là encore signifiant qu’ils rentraient d’Orient. Le symbole de la lance : Dans toutes les civilisations, toutes les croyances ou légendes, la lance a toujours signifié l’axe du Monde. Elle a toujours eu sa pointe ensanglantée, car le sang a toujours représenté l’âme. Pour ce qui nous intéresse, il est normal que nos 2 chevaliers soient représentés rapportant la lance, celle de Longinus qui transperça Jésus ; elle symbolise l’axe de la vraie religion, celle des origines, avec le Sang Royal ; c’est le véritable Saint Graal ! Quoi de plus normal que de la ramener afin de modifier le centre de la religion, tout en suivant les directives de Godefroy de Bouillon avec le sang royal ! Sur la quête de l’Ordre : On peut continuer à imaginer que l’Ordre fut créé pour aider et protéger les pèlerins ; on peut aussi continuer de croire que tous étaient de bons soldats allant en terre sainte combattre les Sarazins. Ce fut le cas des croisés, certes ! Pas le but des chevaliers Templiers, ceux là même qui ont été hébergés par le Roi de Jérusalem, dans l’ancien Temple de Salomon, durant plus de 9 ans. Nos Templiers sont allés chercher des preuves du Christianisme primitif afin des les protéger, surement, mais certainement pour créer en Europe, au Portugal, le nouveau centre de La Religion, celle des origines et non pas celle de Rome qui, d’après eux, propageait un message erroné En France s’était développé un courant de chrétiens qui croyaient en une version de l’histoire du Christ différente de celle véhiculée officiellement par l’Eglise romaine. Selon eux, Jésus n’était pas célibataire, mais marié avec Marie-Madeleine. Le couple avait des enfants qui, après la mort du Christ, se réfugièrent dans le sud de la France où leurs descendants vivraient toujours. D’après eux, l’Église aurait délibérément minimisé l’importance de Marie-Madeleine dans la vie de Jésus, et mal traduit les Évangiles faisant d’elle une prostituée. L’Église aurait ainsi voulu s’assurer que son chef spirituel, c’est-à-dire le pape, soit toujours élu par un groupe descendant des disciples du Christ et non par sa descendance biologique. Les partisans de cette version auraient cherché en Terre Sainte une preuve de leur théorie, qu’ils auraient découverte et rapportée. Le Temple de Salomon, avant d’être converti en mosquée, avait été le temple d’Hérode, détruit par les Romains en 70 (par Titus) ; Il existait donc avant, pendant et après la vie du Christ. Lors de leurs fouilles, tâche de grande ampleur, les Templiers auraient découvert des « manuscrits de la connaissance » traitant de la vie du Christ et antérieurs aux Évangiles. Pour une raison demeurée inconnue, cette connaissance leur procura un certain pouvoir sur l’Église romaine. Peut être ont-ils aussi découvert et rapporté l’Arche d’Alliance ; pour ma part, je laisserai cela à tous les chercheurs de trésors, car rien, pas la moindre preuve ou commencement de preuve ne va dans ce sens… Quoi que ... Ils ont, par contre ramené aussi des reliques, d’abord pour christianiser la France et ensuite l’Europe, qui n’en était qu’au balbutiement du Christianisme. Ainsi, Godefroy de Bouillon rapporta le Saint Sang, avec d’autres, qui en Alsace, qui en Belgique. Certains rapportèrent un morceau de la sainte Croix, ainsi une pièce fut envoyée à Bernard de Clairvaux par son Oncle André de Montbard. Mais peut être rapportèrent-ils la pièce la plus importante : La Relique de la tombe du Christ Elle aurait été ramenée entre 1146 et 1149, certainement par Robert de Craon, le château de Tomar n’étant pas encore construit, il est fort possible que cette relique ait été déposée en Anjou ou dans le nord de la France. Ensuite, que serait-elle devenue ? Un historien, Daniel Minard, le seul à ma connaissance, fait le lien entre plusieurs Maitres de l’Ordre, Robert de Craon, Robert de Sablé, Philippe du Plessis, par exemple, avec l’Anjou et remonte à Robert le Bourguignon, comme lien important entre ces personnages. Malheureusement, il ne va pas plus loin : en effet, le véritable lien serait cette famille d’Artois, les de Créquy, ces Nobles que tout le monde voulait en mariage. Famille issue des Forestiers de Flandres, on dit d’elle qu’elle serait issue des Mérovingiens par Clotaire II. A l’époque il se disait l’expression suivante : « Noble comme Créquy », le terme noble voulant dire, avant l’an 1000, qui est au-dessus du commun , de descendance « Royale », dans le sens descendance Divine… C’est ce lien qui me donne aujourd’hui l’explication d’un fait bien étrange : Un certain Archambault IV de COMBORN qui fit construire le château de BLANCHEFORT en 1125, à quelques kms de la commune d’Uzerche et devint Châtelain de Blanchefort. Plus tard, au XVIe siècle, un de ses descendant, Antoine de BLANCHEFORT est institué héritier de tous les biens de la famille de CREQUY, par le Cardinal de Créquy son oncle maternel, à condition de porter le nom et les armes de la famille. La branche CREQUY-BLANCHEFORT vient d’être créée et détiendra par une alliance avec Chrétienne d'Aguerre, veuve et héritière de François Louis d’Agout, la seigneurie du PAYS de SAULT en 1609. Longtemps, j’ai cherché pourquoi offrir ses titres de noblesse et le nom d’une aussi grande famille à plus de 700 kms de l’Artois (nord de la France). Ce ne pouvait être que pour protéger quelque chose, un secret. On retrouve, plus tard, un autre descendant, Charles de Blanchefort de Créquy, mécène du peintre Nicolas Poussin, allant jusqu’à faire construire son mausolée en Italie avec la référence du Tombeau d’Arcadie, et un autre Blanchefort de Créquy, plus tard, à l’origine du secret de Rennes le Château, avec une inscription codée sur la dalle funéraire de son épouse, la dame Blanchefort d’Hautpoul… Mais souvenons-nous : Rennes le Château est situé dans la région qui a pris pour nom « le razès », nom venant d’un illustre philosophe arabe (Razi) qui a écrit « le livre des secrets ». Le « razès » est situé en Terre d’Aragon, pays qui n’a rien à voir à l’époque avec le Roi de France, pays dont l’Ordre du Saint Sauveur de Montréal a été rattaché à l’Ordre du Temple. Pays dont les Blanchefort de Créquy sont devenus des châtelains puissants. Razès, nom rajouté au sien par Eustache de Boulogne qui devint donc Eustache Razès, celui-ci étant généalogiquement relié à Sigebert IV, petit fils de Dagobert, dernier roi mérovingien, et habitant Rennes le Château… La relique du Tombeau du Christ aurait-elle été cachée dans cette région ? En attente de transport pour Tomar au Portugal ? Enfin, pour terminer cette extraordinaire histoire, après 1314, les templiers, ceux qui n’avaient pas été arrêté, ont quitté la France ; ils sont partis, qui en Allemagne se fondant chez les chevaliers teutoniques, qui en Espagne tentant de rejoindre l’Ordre de Montesa ou l’Ordre de Calatrava, qui au Portugal pour l’Ordre du Christ, qui en Ecosse. Ceux d’Ecosse, on le sait aujourd’hui, ont recréé un mouvement de pensée qui, au fils des siècles, est devenu la Grande Loge Unie d’Angleterre, puis a essaimé en France, en Europe, puis dans le monde. Nous sommes loin de l’idéal Templier du début ! Et pourtant, on trouve dans les hauts grades maçonniques des titres de Chevaliers Kadosch, Chevaliers de Saint Jean ou encore Chevalier Bienfaisant de la Cité sainte. Dans un très vieux rite français, on trouve même, à la place de la légende d’Hiram, l’histoire de Jacques de Molay ! Quand à Hiram, c’est aussi l’anagramme exacte de Marih, patronne des Templiers ! Certains Franc Maçons sont même allé jusqu’à prendre des églises comme lieux de réunions ; ils les appelaient « Temple de la raison ». Ces édifices, souvent des églises donc, étaient destiné à accueillir le nouveau culte instauré en 1793 suite à la Révolution française. Vouée à remplacer le christianisme, cette religion s’inspirait des thèses de la franc-maçonnerie et consacrait les idéaux révolutionnaires. Dans les campagnes, le temple de la raison pouvait aussi être utilisé comme un lieu de proclamation des grands textes révolutionnaires. Certains Francs Maçons de l’époque, souhaitant rester dans l’ancienne tradition, se réunissaient aussi dans les lieux de culte, repérables ceux-là par des ornements différents. Pour ce qui est de l’Ordre du Temple aujourd’hui, il n’existe plus de lignée directe, pas même celle d’un certain Larmenius à qui Jacques de Molay « aurait » transmis la Maitrise avant de mourir. Une charte figure aux archives nationales étayant cette théorie ; Cette charte s’avère être un faux commandé par Napoléon pour faire d’une loge maçonnique un lieu de recherche sur l’Ordre du Temple. Il reste donc aujourd’hui une foultitude de pseudos ordres néo templiers, dont les buts sont bien loin de la devise initiale de l’Ordre : Non pour nous seigneur, mais tout à Ta gloire Bien loin de la quête des 9 fondateurs de l’Ordre du Temple Quelques uns sont sérieux, la plupart sectaires ou réunissant quelques fous furieux en mal de reconnaissance. Tous ont oublié l’Ordre d’Amus (ou d’Ormus), fondé en France, au 9ème siècle ou 10ème siècle, Ordre qui a initié les Godefroy de Bouillon, Geoffroy de Saint Omer et les autres, qui sont ensuite allé en Orient continuer cette initiation avec, peut être les Frères d’Orient, les Fils de la vallée ou peut être encore le Prieuré de Sion. Et puis il y a l’Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon. Ordre International que j’ai l’honneur de conduire parce que je suis, par ma mère, un « de Créquy », parce que je suis un « cherchant », un passionné de l’histoire de l’Ordre du Temple, un passionné de la Religion, celle du Religare, qui doit donc nous relier. Et tout ça, ça donne la petite pièce du puzzle que les historiens ne pouvaient pas connaître. Back to home

  • devenir chevalier 2 | Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon

    become a Knight (or Lady of Chivalry)... Before being knighted or Dame of Chivalry, one must enter as a Novice of the Order (dressed in a black chasuble with a pectoral cross). After some time, you will become a Squire of the Order (wearing a white chlamys with a pectoral cross). You will prepare your coat of arms, your motto and your name as a future Knight with the help of your godfather or godmother and will then be armed and dubbed a Knight (or Dame of Chivalry), according to ancient rites. Once you have been knighted, you will have access to the High Magisteriums to perfect your training. These High Grades are composed of 5 levels, which will ultimately lead you to other discoveries... René-Pierre AMSELLE YOU who are going to enter this Temple, What secret do you hope to find? Know that from what you will see, Few symbols you will understand. Surely your brothers will guide you, But don't kid yourself, Like you, they are looking for the secret. That Isis keeps hidden under her veil. We are the worthy sons of HERMES, Nature is our Mistress And the Universe our kingdom. Although miserable gnomes Beautiful red clay kneaded, We have within us the breath of life Who, from a cold-bodied GOLEM, Made us humans who believe Than vile lead into sacred gold Any man can transmute. YOU who will enter this Temple, The real secret is not there: Dive into the mire of your being, Then, afterward, you can be reborn. BECOME A KNIGHT Recent articles A DREAM COME TRUE: THE JOURNEY IN THE SUPREME MILITARY ORDER OF THE KNIGHTS OF SOLOMON Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon Association type loi 1901 inscrite en préfecture sous le numéro W 831000941 Inscrit auprès de l’inpi (Institut National de la Propriété industrielle) sous la référence 09 3 701 344 Nous sommes un Ordre de Chevalerie, se référant à l’histoire de l’Ordre des Pauvres Chevaliers du Christ d’Hugues de Payns (1er Grand Maître) Quelques repères : - En 1119 naquit cet Ordre sous l’impulsion de Bernard de Clairvaux (qui deviendra Saint Bernard) 9 chevaliers sont parti en Terre Sainte et se sont installés dans le Temple du Roi Salomon Quelle était leur mission ? Qu’ont-ils rapporté de leurs voyages ? Qu’est devenu l’Ordre durant 2 siècles, qu’ont-ils fait ? Voila une des missions que nous nous sommes donné : rechercher, trouver et transmettre - En 1307 tous les Templiers sont arrêtés par le Roi Philippe Le Bel - Le 18 mars 1314 : Jacques de Molay (23ème et dernier Grand Maître) est brûlé sur l’île aux Juifs à Paris malgré l’absolution du Pape Clément V par le parchemin de Chinon (17 août 1308). A cette date, l’Ordre est dissout mais certains partent de France pour aller soit en Allemagne, en Ecosse ou au Portugal, Espagne... Que faisons nous ? L’Ordre se veut être une école pour former des Chevaliers du 21ème siècle En plus de l’histoire, nous transmettons les valeurs indispensables à savoir tolérance, fraternité et respect. Notre but : l’aide humanitaire de proximité (voir la rubrique : nos oeuvres humanitaires), l'aide aux démunis Par exemple : aide pour centres d’adultes handicapés participations diverses (achat d’un fauteuil roulant spécialisé…) dons aux œuvres sociales des villes qui nous reçoivent (CCAS, épicerie solidaire…) aide dans les maisons de retraite, résidences sénior... bénévolat divers, aide aux démunis aide à l'International Le fonctionnement : Rassemblés en Commanderies, nous nous réunissons une fois par mois en « chapitre ». Les Commanderies (toutes déclarées en préfecture) sont sous la direction d’un Baillage régional. L'Ordre est dirigé par un Conseil International avec le Grand Prieur de l'Ordre S.E. Dominique BOULANGER de CREQUY Dans chaque pays, l’Ordre est dirigé par un collège d’Officiers Nationaux comprenant le Grand Prieur et ses Vice Grands Prieurs, un Maréchal, un Sénéchal, un Chancelier de Justice, un Grand Argentier, Un Grand Secrétaire, un Chancelier Hospitalier. Chaque Commanderie est dirigée par un Commandeur, un collège d’officiers et reçoit des Novices, des Ecuyers et des Chevaliers. En règle générale, les chapitres (réunions mensuelles) sont ouverts au public. En principe, les armements et adoubements de Chevaliers sont pratiqués selon les anciens usages et rituels dans des lieux sacrés (chapelles, églises…) Contact ADMISSION TO THE RANK OF ESQUIRE Lettre ouverte d'un Frère Admis au grade d’Ecuyer. En préambule, il me semble utile de faire une petite rétrospective depuis mon arrivée au sein de la Commanderie des Chevaliers d’Argens Préalablement, en qualité d’invité j’ai assisté à plusieurs chapitres pendant quelques mois. Très attentif aux objectifs de l’ordre, au cérémonial, aux divers travaux évoqués, et à la fraternité régnant au sein de la commanderie, j’en ai été attiré et j’ai ressenti le même état d’esprit. L’année dernière j’ai posé ma candidature en qualité de novice, vous m’avez fait l’honneur de l’accepter et m’avez reçu dans l’ordre en septembre. Au début de ma période de noviciat nous étions très nombreux et j’ai été très bien accueilli par l’ensemble de notre commanderie j’en étais très heureux car nous partagions la même idéologie, l’amitié était réciproque. Quelques mois plus tard, en décembre, en la Chapelle St. Pierre, cinq écuyers étaient adoubés et élevés au rang de Chevalier. Ce fut une extraordinaire cérémonie, très émouvante, et j’en garde un excellent souvenir. Depuis, une année est passée, dans ma condition de novice, et j’ai essayé d’être fidèle à mon engagement dans l’Ordre. En respectant dans la mesure de mes possibilités les objectifs de notre Ordre, en assistant et en participant aux chapitres de notre commanderie et celles rattachées à l’O S M C S , en étudiant l’histoire et l’éthique Templière, ses obligations, ses traditions, en effectuant les travaux qui m’ont été demandés, mais surtout, cela nécessite d’opérer des changements, dans sa vie, et dans son comportement, et ce,…..dans plusieurs domaines. Bien souvent, entreprendre des changements s’avère assez ardu, ce n’est pas sans rencontrer quelques obstacles. Parfois la volonté ne suffit pas, et la plupart du temps, il faut continuellement se surpasser afin d’y arriver. Un vieux dicton nous stipule : « Chassez le naturel, il revient au galop » En fait, c’est assez réel. Aussi, il est essentiel d’être vigilant, sans abandon, ni découragement, sachant qu’il y a toujours une solution, notamment celle de demander conseil à son parrain ou un frère ou une sœur. Continuez à demander et l’on vous donnera Continuez à cherchez et vous trouverez Continuez à frapper et on vous ouvrira (Matthieu Chapitre 7 verset 7) Ces versets tirés de la Bible nous prouvent bien que nous ne sommes pas seul et qu’il n’est pas inutile de demander conseil, bien au contraire, je pense même que c’est indispensable.J’avoue avec humilité que j’ai toujours eu du mal à demander, et je suis conscient qu’il faut que je remédie à cet état de fait. Cette période de noviciat m’a beaucoup apporté, tant sur des connaissances dans l’Ordre que sur le plan spirituel. Elle m’a permise de me préparer progressivement à franchir une étape importante Etape dans laquelle intérieurement, j’avais espoir d’y parvenir, celle d’être reçu au rang d'Ecuyer. Et ce jour est arrivé, non sans crainte, et avec une certaine appréhension, ne sachant pas véritablement si j’étais tout à fait prêt et si j’en étais digne. J’en ai déduit qu’après délibération, les membres du Collège des Chevaliers ont du me juger apte à être reçu Ecuyer. J’en suis très honoré et j’en éprouve un sentiment de reconnaissance. Lors du Chapitre d’octobre, en présence des Dignitaires de l’Ordre et des Frères et Sœurs de la Commanderie, notre Très Noble Commandeur m’a fait appeler afin de m’élever au grade d’Écuyer. J’étais très ému durant tout le cérémonial de passage, notamment lors de mes paroles prononcées devant notre Beaucéant, sur la signification et les symboles des couleurs noires et blanches. Une des couleurs que j’allais maintenant abandonner, le noir, pour revêtir la chasuble blanche. Qu’elle profonde émotion, j’étais sincèrement très heureux.Ce fut un grand honneur pour moi et une grande joie d’être revêtu de la chasuble blanche. Des paroles éloquentes ont été commentées à mon égard par les dignitaires et par les Frères et Sœurs. j’en été attendri et gêné en même temps, ces compliments étaient élogieux , réconfortants, et encourageants je n’en mérite pas tant.Je ne saurai jamais assez les en remercier. Il est évident que pour moi ce franchissement est une grande satisfaction,c’est en quelque sorte une belle récompense, j’y suis très sensible, mais ce n’est qu’une étape. Il va falloir assurer une continuité en s’investissant plus intensément concernant certains points sur lesquels je me pose des questions : Que dois-je maintenant approfondir plus particulièrement ? Quelles tâches ou missions suis-je susceptible de remplir au sein de notre commanderie ? Et suis-je assez disponible pour les accomplir ? Suis-je assez compétent et en aurai-je la possibilité ? Mais ce dont je suis sûr, c’est qu’il faut envisager dans l’avenir une accession à la chevalerie, et pour ce faire, je suis conscient qu’il y a du travail en perspective, et que le chemin est encore long. Pour le moment je suis écuyer, ….à propos !! Qu’est-ce qu’un écuyer ? Remontons un peu dans l’histoire : Il ne fait aucun doute qu’il nous faille remonter aux temps les plus anciens de la Chevalerie pour retrouver l’origine du nom écuyer. Plusieurs sens en ont été déduits. Jadis, l’écuyer prenait soin des chevaux appartenant aux chevaliers. A l’époque féodale, l’écuyer, jeune noble, effectuait son apprentissage auprès d’un Chevalier il l’accompagnait , lui servait de second et avait la garde de son écu blasonné, de sa devise , et de ses symboles . Et l’écuyer ne pouvait accéder à la chevalerie qu’en ayant fait ses preuves. Actuellement, constatons que le même état d’esprit perdure, et qu’il y a de grandes similitudes chez les Chevaliers de nos jours. L’écuyer apprend auprès des Chevaliers. L’écuyer se met au service des membres de la Commanderie. Un Chevalier parraine l’écuyer au long de son parcours et lui inculque l’enseignement nécessaire L’écuyer ne peut espérer être adoubé Chevalier que lorsqu’il sera prêt moralement et spirituellement. Et c’est ce que je dois préparer assidûment maintenant Lors de mon noviciat, si j’ai acquis quelques connaissances grâce à l’ensemble des Sœurs et frères, j’ai également rencontré de petites « embûches » peut-être prévisibles mais, il m’est essentiel à ce jour, d’essayer d’y remédier et de prendre conscience de mes buts recherchés, non seulement au sein de notre Ordre, mais également dans la vie courante. Un Chevalier n’est pas Chevalier uniquement lorsque nous sommes réunis il doit l’être dans l’âme, dans son « moi intérieur » et en appliquer ses principes quotidiennement. Principes fondamentaux qui sont par exemple : Une intégrité morale et comportementale qui implique une parfaite honnêteté incorruptible, une loyauté vis-à-vis d’autrui et de soi même. Une fidélité : Au respect de nos traditions, à notre amitié, à honorer nos engagements et nos promesses Toutes promesses doivent être tenues, et l’action doit être résolue . Une obéissance volontaire et sans réticence : A notre éthique, à nos missions, à notre assiduité aux chapitres, à nos règles communes , etc.….. Il est de notre devoir d’accepter une obéissance : aux lois divines, aux lois de notre société, et à notre hiérarchie dans l’Ordre. Agir : Mais agir de façon réfléchie et, autant que faire ce peut …. avec sagesse, dignité et humilité afin d’acquérir une attitude humble. J’ai eu un professeur qui nous conseillait de réfléchir sur cette maxime de CONFUCIUS, elle résume bien des interrogations Ce que vous connaissez, vous le connaissez, ce que vous ne connaissez pas, vous ne le connaissez pas.C'est-à-dire la véritable connaissance est de reconnaître ce que nous savons et d’admettre ce que nous ne savons pas , nous ne devons pas être présomptueux mais rester humble. Servir : Servir dépend d’un libre choix et d’une décision toujours renouvelée. Savoir servir avec dévouement et efficacité Servir son prochain En LUC Chapitre 10 v.27 de la Bible Tu aimeras ton prochain comme toi-même En appliquant ce précepte : si j’aime mon prochain !! ….je n’hésite pas à le servir, à lui proposer de l’aider, de l’assister, d’être à l’écoute, de le soutenir quant il est dans le besoin. Savoir.. en toutes occasions, donner, et se rendre utile. Voilà, en qualité de jeune écuyer : En particulier, j’ai retenu ces quelques principes que je viens de vous énumérer. Je souhaite pouvoir toujours les appliquer afin qu'ils m'aident à progresser dans la foi et dans mon parcours pour espérer peut être un jour, si j’en suis digne, revêtir le Manteau Blanc du Chevalier. Je termine par cette citation Biblique en Galates Chapitre 6 v . 2 Aidez vous les uns et les autres à porter vos fardeaux En toute occasion, faisons le bien et prions car c’est une manière d’accomplir la loi du Christ, et méditons sur ce proverbe : Il y a plus de plaisir à donner qu’à recevoir Contact CREQUY FAMILY COAT OF ARMS Gold to the creditor of gules... de CREQUY: powerful family from Hauts de France, ancestors of SE Dominique BOULANGER de CREQUY, closely linked to the history of the Order of the Temple and in genealogical connection with the founders of the Order of the Temple Genealogy of the "de CREQUY" Back Home

  • Page vierge | Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon

    On notera également que sur les 6 templiers présents, 4 sont du nord de la France. Donc pourquoi pas aussi Hugues ? Le 6ème, un certain Rollandus n’existera plus après ce concile ; On dit de lui qu’il appartient au Marquisat de Provence ; après étude, je n’ai pas trouvé de Rolland dans les arbres généalogiques dudit marquisat. Et des noms bien plus séduisants y figuraient (comte de Saint Gilles, comte de Toulouse…). Je pense que là encore, il y a eu une erreur de transcription. Peut être (même surement) faisait-on allusion à Roral, alias Robert de Craon, lui aussi relié à la famille de Saint Omer comme nous le verrons plus loin. Donc, les premiers fondateurs seraient, d’après nous : HUGUES DE PAYEN, fondateur de l’ordre et premier Grand Maître GEOFFROY DE SAINT OMER ROBERT DE CRAON, qui deviendra 2ème Maître de l’Ordre ANDRE DE MONTBARD, oncle maternel de Saint Bernard et ensuite 5ème Maître de l’Ordre ARCHAMBAUD DE SAINT AMAND HUGUES RIGAUD, Originaire du Languedoc PAYEN DE MONTDIDIER BERNARD ROLLAND ( ?) GEOFFROY DE BOSSOIT Pendant ce temps, en terre d’Aragon (sud de France) se crée L'ordre de Saint-Sauveur de Montréal (que certains confondrons avec l’Ordre de Montesa) par le roi d’Aragon, Alphonse 1er. 1134 Traité de Saint Bernard sur la Milice nouvelle. 1136 (24 mai) Mort d'Hugues de Payen. - Robert de Craon, 2ème Maître du Temple. Qui est donc réellement Robert de Craon ? Il n’est autre que le frère de Mahaut de Craon, qui épousa cette même année 1136 un certain Raoul Radulphe de Créquy, seigneur de Flandres et parent des châtelains de Saint Omer. Ainsi, Robert de Craon, le bourguignon, est très lié au nord et aux familles de Flandres et d’Artois. On peut aisément comprendre qu’il succède à Hugues en tant que Grand Maître, surtout si ce Hugues est celui de Saint Omer. De plus, il est nommé et non élu : ce n’est, en effet, qu’un 1139, que Robert de Craon fait modifier la règle de l’Ordre et notamment y fait ajouter les articles 198 et suivant concernant l’élection du Grand Maître. Quoi de plus normal alors que de nommer pour successeur quelqu’un de très lié aux familles du nord, donc aux familles des fondateurs. Quoi de plus normal enfin que de retrouver Robert de Craon au concile de Troyes inscrit sous le nom de Roral ( ?) au lieu de Rolland, ce que confirment aujourd’hui certains historiens. Roral qui n’est autre que son cri de guerre : Ro pour Robert ; Ral pour « rallie » de rallier, rassembler. 1139 Le Pape Innocent II confirme l'ordre du Temple par sa bulle, Omne datum optimum au 1er concile du Latran. 1143 Baudouin III, devient roi de Jérusalem. Ici, une précision s’impose : Baudouin III est fils de Foulque d’Anjou et de Mélisende. C’est à partir de Baudouin II (neveu de Baudouin Ier de Boulogne) que les successeurs seront désignés parmi la famille royale et non plus élus ; ainsi, à sa mort c’est sa fille Mélisende, mariée à Foulque d’Anjou qui deviendra Reine de Jérusalem (1131). C’est, d’ailleurs, Baudouin II qui accorda aux pauvres Chevaliers du Christ et du Temple le port de la croix patriarcale (croix inverse de la croix de lorraine, rouge), croix du Patriarche de Jérusalem – de cette croix, on n’est pas sur que les deux traverses aient été de dimensions différentes d’ailleurs. Cette croix fut portée jusqu’à ce que le Pape Eugène III leur accorde la croix pattée rouge. Certains hauts dignitaires de l’Ordre continuèrent cependant de porter la croix patriarcale. On retrouve cette croix dans les archives des Bouches du Rhône sur le sceau d’un Précepteur du Poitou. 1147 (13 janvier) Mort de Robert de Craon. - Evrard des Barres devient 3 ème Maître du Temple. Concernant ce Grand Maitre, on ne trouve pas grand-chose : premièrement, on n’est pas sur qu’il ait été Grand Maitre puisque ne figurant pas forcément dans toutes les listes des Maitres du Temple, à commencer par celle de l’obituaire de Reims. Quant à la liste fournie par l’Ordre des Hospitaliers, il est confondu avec Robert de Craon. Deuxièmement, on le trouve tantôt fils de Claude des Barres, tantôt fils de Guillaume des Barres, tantôt seigneur champenois, tantôt originaire d’alsace, et l’on n’est même pas sur de son nom : des Barres, Barrès… following Back Home

  • Histoire (suite) | Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon

    THE ORDER OF THE TEMPLE par Dominique BOULANGER de CREQUY The story I am about to tell you lasted two centuries and is absolutely extraordinary... So this is the story of the Order of the Temple, as I discovered and understood it. One could almost give it the title: "A Family Story!" The year is 1096 AD… The first crusade (and we are not yet talking about the Order of the Temple) was a response to the Seljuk Turks. It took place until 1099 to retake Jerusalem from the Turks, who since 1078 had massacred all the occupants, the Fatimids (Shiites), who left free access to Jerusalem to Christian pilgrims . The Turks wanted to destroy all traces of Christianity. It was Pope Urban II who decided on this first crusade, and in exchange for their participation in the crusade , to have people, he promised forgiveness of their sins to the knights who would go to help the Christians of the East . Needless to say, all the ex-convicts have gone on a crusade. Among the big names (and not necessarily convicted offenders of course) of this crusade, we can cite, among others, Peter the Hermit, the Count of Toulouse, Godfrey of Bouillon and his brother Baldwin of Boulogne. Godfrey of Bouillon - son of Ide of Boulogne, herself the Pope's niece - would once again distinguish himself as the best leader of troops; "a brave man and a saint" it was said of him. (Much earlier, around 910, an ancestor of Godfrey of Bouillon married a certain Mahaut de Créquy.) Read more Retour Accueil

  • Page vierge | Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon

    Durant ces 90 ans, on peut mettre au compte des Templiers, plusieurs choses de grande importance : La grande idée d’une Europe unie Une société bâtie autour d’une autre idée : le communautarisme à l’extrême ; donner au peuple un toit, à manger, une protection contre un travail commun pour une seule cause, et le tout sans impôt. La création des lettres de change, du crédit, du change des monnaies, du dépôt d’objets précieux, bref, les débuts de la banque. Les débuts de l’assurance (notamment pour les voyages, transports) Une innovation en matière d’irrigation pour l’agriculture De nouvelles techniques de construction L’encodage des écrits Mais aussi, des apport de connaissance en astronomie, en médecine, en mathématiques… Ils excellèrent dans les constructions dites templières et aussi dans les fameuses cathédrales gothiques dont chaque chantier, faut-il encore le rappeler, a été financé, alors que la France manquait d’argent, par l’Ordre du Temple. Il faut le dire avec vigueur : sans l’Ordre du Temple, la France n’aurait pas ces extraordinaires vaisseaux de pierres et de lumière que sont les cathédrales gothiques, elle n’aurait pas aujourd’hui sous les yeux, tel un livre ouvert, le plus parfait exposé de l’ésotérisme chrétien… En moins d’un siècle, c’est bel et bien une révolution culturelle et spirituelle que les Templiers opèrent ! La cathédrale, dans cette éthique, était construite pour être un édifice laïc, au sens originel du terme, car construit pour l’Âme du peuple et non pour la gloire des seigneurs. Pour rappel, à l’époque, les gens du peuple allaient s’y promener et même y mangeaient par terre. A partir de ce moment, l’Ordre qui devient de plus en plus riche et puissant militairement, commence à refuser l’autorité des princes de Terre Sainte, et même l’autorité du Pape et de ses légats. 1200 Philippe du Plaissiez, ou du Plaissis devient 13ème Maître du Temple. Il est originaire d’Anjou. 1210 Guillaume de Chartres, 14ème Maître du Temple. De son origine on ne sait pas grand-chose, ce qui poussera les historiens à chercher du coté de Chartres, mais rien de moins sur. 1218 Pierre de Montaigu, 15ème Maître du Temple. A part un document qu’il signa en tant que Précepteur de Provence, on dit de lui qu’il serait d’origine espagnole, et Maitre de la Province d’Aragon avant de devenir Maitre du Temple. 1232 Armand de Périgord, 16ème Maître du Temple. 1244 Guillaume de Sonnac. 17ème Maître du Temple. Ou plutot Wilhelm de Sonay (en latin Saunayo) Il semblerait qu'il soit issu d'une famille du Bas-Poitou installée au château de Sonnay en Touraine et qui aurait été anoblie par Foulques V d'Anjou 1250 Renaud de Vichier, 18ème Maître du Temple. Ancien Précepteur de France, puis Maréchal de l’Ordre, d'origine champenoise. 1256 Thomas Béraud, 19ème Maitre du Temple, pratiquement inconnu des historiens. 1273 Guillaume de Beaujeu, 20ème Maître du Temple. Originaire de Bourgogne et apparenté à Charles Ier d'Anjou 1291 Thibaud Gaudin, 21ème Maître du Temple. Origine inconnue 1292 Retour en France des Templiers survivants après une débâcle monumentale à St Jean d’Acre. Jacques de Molay, 22ème ou 23ème (selon le comptage) Maitre du Temple. Très peu de renseignements sur ses origines, il serait de Franche Comté. 1296 Jacques de Molay prend parti pour Boniface VIII dans le conflit qui l'oppose à Philippe le Bel. 1302 Boniface VIII meurt après avoir été frappé au visage par Sciarra Colonna , homme de Guillaume de Nogaret , avec un gantelet de fer 1304 Election et mort de Benoit XI, empoisonné. 1305 Les Templiers sont dénoncés au roi d'Aragon et à Philippe le Bel. Election de Clément V. 1307 Ouverture d'une enquête sur les Templiers par Clément V. sur la demande de Jacques de Molay. Le vendredi 13 octobre, à l'aube, les Templiers de France sont arrêtés par les hommes de Guillaume de Nogaret. Le 17 novembre, Bulle de Clément V ordonnant l'arrestation de tous les Templiers du monde ; certains pays refusèrent de suivre cette bulle (notamment Ecosse, Portugal et en terre d’Aragon aussi). 1312 Bulle de Clément V disant que l’Ordre du temple est dissout, mais pas d’excommunication de ses membres. Cette bulle ne sera réellement connue qu’en 1980 1313 (décembre) Procès de Jacques de Molay. 1314 18 mars : Le même jour, jugement, rétractation de Jacques de Molay et de Geoffroy de Charnay. Ils sont brûlés le soir même à la pointe de l'lie aux Juifs à Paris. 1317 (10 juin) Fondation de l'ordre de Montesa en Aragon. 1319 (19 mars) Fondation de l'Ordre du Christ du Portugal. Ces deux derniers Ordres sont les seuls à prétendre être les successeurs de l'Ordre du Temple. Ils sont aujourd’hui devenus des ordres honorifiques. Voila 2 siècles résumés de ce qui fut un des plus beaux moments de l’histoire de France pour ce qui est de l’idéal, des connaissances, des constructions, des inventions, du moins sur un plan sociétal ; mais également de ce qui fut un gâchis total pour des considérations politico financières. continuation and end Back Home

  • Templier | Osmcs

    osmcs : ordre suprême et militaire des chevaliers de Salomon : rdre de chevalerie templière initiatique et humanitaire © Copyright OSMCS-chanson officielle de lordre OSMCS WELCOME YOU! Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon AN OVERVIEW OF THE OSMCS Our roots The Order of the Temple (Poor Knights of Christ and the Temple of Solomon) was a religious order founded in 1118 by Hugues de Payns (or Hugues dit le païen - Hugo de Paganus). Their fall came in 1307 when King Philip the Fair had them arrested. Two centuries of rich history, so rich in secrets, which we, at the OSMCS, are trying to rediscover... A little history... WHAT WE DO At the OSMCS, we train modern Templars, that is, we work for a strong, true brotherhood; we strive to rediscover the moral values so lacking in 21st-century society and, above all, we hope in the Religion of Love. Our other goals are historical research, the search for truth, and humanitarian aid. Servir... par Joël Magnet I would like to know more... BECOME A KNIGHT OF THE OSMCS Or Dame of Chivalry because our Order is mixed Discover the different stages and the evolution towards the transmission of knowledge Become a knight OUR HUMANITARIAN WORKS Find out what we've been doing since 2010. We are not subsidized, and only have our contributions, your donations (tax deductible) and the proceeds from the sale of a few items http://www.osmcs.org . Our humanitarian works The OSMCS, created in 2010 and present in 22 countries, also aims to be a true school of knowledge and transmission... "The teacher opens the door, but it is the student who must go through it." CONTACT THE OSMCS BP7 34600 HEREPIAN secretariat@osmcs.fr osmcsfrance@gmail.com 06 77 24 89 34 ou 06 48 54 75 61 ORDER SHOP Treat yourself while helping our humanitarian causes shop

06 77 24 89 34 or 06 48 54 75 61

  • Facebook

©2022 by OSMCS. Created with Wix.com

bottom of page