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- Page vierge | Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon
Abschließend zum Templerorden: Sur le Sigilum, le sceau des Templiers (2 chevaliers sur un même cheval) : que veut-il dire ? J’ai aujourd’hui l’intime conviction, comme certains historiens, qu’il s’agit de la reproduction des 2 frères de St Omer revenant d’Orient. D’abord parce que tous les sceaux des chevaliers les représentent allant de gauche à droite et épée à la main, alors que celui du Temple est inversé, donc revenant d’Orient, sans épée, donc sans intention de combat, mais avec une lance Ensuite, un autre sigilum de la même époque faisait apparaître le Dôme du Rocher, donc là encore signifiant qu’ils rentraient d’Orient. Le symbole de la lance : Dans toutes les civilisations, toutes les croyances ou légendes, la lance a toujours signifié l’axe du Monde. Elle a toujours eu sa pointe ensanglantée, car le sang a toujours représenté l’âme. Pour ce qui nous intéresse, il est normal que nos 2 chevaliers soient représentés rapportant la lance, celle de Longinus qui transperça Jésus ; elle symbolise l’axe de la vraie religion, celle des origines, avec le Sang Royal ; c’est le véritable Saint Graal ! Quoi de plus normal que de la ramener afin de modifier le centre de la religion, tout en suivant les directives de Godefroy de Bouillon avec le sang royal ! Sur la quête de l’Ordre : On peut continuer à imaginer que l’Ordre fut créé pour aider et protéger les pèlerins ; on peut aussi continuer de croire que tous étaient de bons soldats allant en terre sainte combattre les Sarazins. Ce fut le cas des croisés, certes ! Pas le but des chevaliers Templiers, ceux là même qui ont été hébergés par le Roi de Jérusalem, dans l’ancien Temple de Salomon, durant plus de 9 ans. Nos Templiers sont allés chercher des preuves du Christianisme primitif afin des les protéger, surement, mais certainement pour créer en Europe, au Portugal, le nouveau centre de La Religion, celle des origines et non pas celle de Rome qui, d’après eux, propageait un message erroné En France s’était développé un courant de chrétiens qui croyaient en une version de l’histoire du Christ différente de celle véhiculée officiellement par l’Eglise romaine. Selon eux, Jésus n’était pas célibataire, mais marié avec Marie-Madeleine. Le couple avait des enfants qui, après la mort du Christ, se réfugièrent dans le sud de la France où leurs descendants vivraient toujours. D’après eux, l’Église aurait délibérément minimisé l’importance de Marie-Madeleine dans la vie de Jésus, et mal traduit les Évangiles faisant d’elle une prostituée. L’Église aurait ainsi voulu s’assurer que son chef spirituel, c’est-à-dire le pape, soit toujours élu par un groupe descendant des disciples du Christ et non par sa descendance biologique. Les partisans de cette version auraient cherché en Terre Sainte une preuve de leur théorie, qu’ils auraient découverte et rapportée. Le Temple de Salomon, avant d’être converti en mosquée, avait été le temple d’Hérode, détruit par les Romains en 70 (par Titus) ; Il existait donc avant, pendant et après la vie du Christ. Lors de leurs fouilles, tâche de grande ampleur, les Templiers auraient découvert des « manuscrits de la connaissance » traitant de la vie du Christ et antérieurs aux Évangiles. Pour une raison demeurée inconnue, cette connaissance leur procura un certain pouvoir sur l’Église romaine. Peut être ont-ils aussi découvert et rapporté l’Arche d’Alliance ; pour ma part, je laisserai cela à tous les chercheurs de trésors, car rien, pas la moindre preuve ou commencement de preuve ne va dans ce sens… Quoi que ... Ils ont, par contre ramené aussi des reliques, d’abord pour christianiser la France et ensuite l’Europe, qui n’en était qu’au balbutiement du Christianisme. Ainsi, Godefroy de Bouillon rapporta le Saint Sang, avec d’autres, qui en Alsace, qui en Belgique. Certains rapportèrent un morceau de la sainte Croix, ainsi une pièce fut envoyée à Bernard de Clairvaux par son Oncle André de Montbard. Mais peut être rapportèrent-ils la pièce la plus importante : La Relique de la tombe du Christ Elle aurait été ramenée entre 1146 et 1149, certainement par Robert de Craon, le château de Tomar n’étant pas encore construit, il est fort possible que cette relique ait été déposée en Anjou ou dans le nord de la France. Ensuite, que serait-elle devenue ? Un historien, Daniel Minard, le seul à ma connaissance, fait le lien entre plusieurs Maitres de l’Ordre, Robert de Craon, Robert de Sablé, Philippe du Plessis, par exemple, avec l’Anjou et remonte à Robert le Bourguignon, comme lien important entre ces personnages. Malheureusement, il ne va pas plus loin : en effet, le véritable lien serait cette famille d’Artois, les de Créquy, ces Nobles que tout le monde voulait en mariage. Famille issue des Forestiers de Flandres, on dit d’elle qu’elle serait issue des Mérovingiens par Clotaire II. A l’époque il se disait l’expression suivante : « Noble comme Créquy », le terme noble voulant dire, avant l’an 1000, qui est au-dessus du commun , de descendance « Royale », dans le sens descendance Divine… C’est ce lien qui me donne aujourd’hui l’explication d’un fait bien étrange : Un certain Archambault IV de COMBORN qui fit construire le château de BLANCHEFORT en 1125, à quelques kms de la commune d’Uzerche et devint Châtelain de Blanchefort. Plus tard, au XVIe siècle, un de ses descendant, Antoine de BLANCHEFORT est institué héritier de tous les biens de la famille de CREQUY, par le Cardinal de Créquy son oncle maternel, à condition de porter le nom et les armes de la famille. La branche CREQUY-BLANCHEFORT vient d’être créée et détiendra par une alliance avec Chrétienne d'Aguerre, veuve et héritière de François Louis d’Agout, la seigneurie du PAYS de SAULT en 1609. Longtemps, j’ai cherché pourquoi offrir ses titres de noblesse et le nom d’une aussi grande famille à plus de 700 kms de l’Artois (nord de la France). Ce ne pouvait être que pour protéger quelque chose, un secret. On retrouve, plus tard, un autre descendant, Charles de Blanchefort de Créquy, mécène du peintre Nicolas Poussin, allant jusqu’à faire construire son mausolée en Italie avec la référence du Tombeau d’Arcadie, et un autre Blanchefort de Créquy, plus tard, à l’origine du secret de Rennes le Château, avec une inscription codée sur la dalle funéraire de son épouse, la dame Blanchefort d’Hautpoul… Mais souvenons-nous : Rennes le Château est situé dans la région qui a pris pour nom « le razès », nom venant d’un illustre philosophe arabe (Razi) qui a écrit « le livre des secrets ». Le « razès » est situé en Terre d’Aragon, pays qui n’a rien à voir à l’époque avec le Roi de France, pays dont l’Ordre du Saint Sauveur de Montréal a été rattaché à l’Ordre du Temple. Pays dont les Blanchefort de Créquy sont devenus des châtelains puissants. Razès, nom rajouté au sien par Eustache de Boulogne qui devint donc Eustache Razès, celui-ci étant généalogiquement relié à Sigebert IV, petit fils de Dagobert, dernier roi mérovingien, et habitant Rennes le Château… La relique du Tombeau du Christ aurait-elle été cachée dans cette région ? En attente de transport pour Tomar au Portugal ? Enfin, pour terminer cette extraordinaire histoire, après 1314, les templiers, ceux qui n’avaient pas été arrêté, ont quitté la France ; ils sont partis, qui en Allemagne se fondant chez les chevaliers teutoniques, qui en Espagne tentant de rejoindre l’Ordre de Montesa ou l’Ordre de Calatrava, qui au Portugal pour l’Ordre du Christ, qui en Ecosse. Ceux d’Ecosse, on le sait aujourd’hui, ont recréé un mouvement de pensée qui, au fils des siècles, est devenu la Grande Loge Unie d’Angleterre, puis a essaimé en France, en Europe, puis dans le monde. Nous sommes loin de l’idéal Templier du début ! Et pourtant, on trouve dans les hauts grades maçonniques des titres de Chevaliers Kadosch, Chevaliers de Saint Jean ou encore Chevalier Bienfaisant de la Cité sainte. Dans un très vieux rite français, on trouve même, à la place de la légende d’Hiram, l’histoire de Jacques de Molay ! Quand à Hiram, c’est aussi l’anagramme exacte de Marih, patronne des Templiers ! Certains Franc Maçons sont même allé jusqu’à prendre des églises comme lieux de réunions ; ils les appelaient « Temple de la raison ». Ces édifices, souvent des églises donc, étaient destiné à accueillir le nouveau culte instauré en 1793 suite à la Révolution française. Vouée à remplacer le christianisme, cette religion s’inspirait des thèses de la franc-maçonnerie et consacrait les idéaux révolutionnaires. Dans les campagnes, le temple de la raison pouvait aussi être utilisé comme un lieu de proclamation des grands textes révolutionnaires. Certains Francs Maçons de l’époque, souhaitant rester dans l’ancienne tradition, se réunissaient aussi dans les lieux de culte, repérables ceux-là par des ornements différents. Pour ce qui est de l’Ordre du Temple aujourd’hui, il n’existe plus de lignée directe, pas même celle d’un certain Larmenius à qui Jacques de Molay « aurait » transmis la Maitrise avant de mourir. Une charte figure aux archives nationales étayant cette théorie ; Cette charte s’avère être un faux commandé par Napoléon pour faire d’une loge maçonnique un lieu de recherche sur l’Ordre du Temple. Il reste donc aujourd’hui une foultitude de pseudos ordres néo templiers, dont les buts sont bien loin de la devise initiale de l’Ordre : Non pour nous seigneur, mais tout à Ta gloire Bien loin de la quête des 9 fondateurs de l’Ordre du Temple Quelques uns sont sérieux, la plupart sectaires ou réunissant quelques fous furieux en mal de reconnaissance. Tous ont oublié l’Ordre d’Amus (ou d’Ormus), fondé en France, au 9ème siècle ou 10ème siècle, Ordre qui a initié les Godefroy de Bouillon, Geoffroy de Saint Omer et les autres, qui sont ensuite allé en Orient continuer cette initiation avec, peut être les Frères d’Orient, les Fils de la vallée ou peut être encore le Prieuré de Sion. Et puis il y a l’Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon. Ordre International que j’ai l’honneur de conduire parce que je suis, par ma mère, un « de Créquy », parce que je suis un « cherchant », un passionné de l’histoire de l’Ordre du Temple, un passionné de la Religion, celle du Religare, qui doit donc nous relier. Et tout ça, ça donne la petite pièce du puzzle que les historiens ne pouvaient pas connaître. Zurück zur Startseite
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werde ein Ritter (oder eine ritterliche Dame) … Bevor man zum Ritter geschlagen wird oder den Titel einer Ritterdame erhält, muss man dem Orden als Novize beitreten (gekleidet in eine schwarze Kasel mit einem Brustkreuz). Nach einiger Zeit werden Sie ein Knappe des Ordens (gekleidet in eine weiße Chlamys mit einem Brustkreuz). Sie bereiten mit Hilfe Ihres Paten oder Ihrer Patin Ihr Wappen, Ihr Motto und Ihren Namen als zukünftiger Ritter vor und werden dann nach altem Ritus bewaffnet und zum Ritter (oder zur Ritterdame) geschlagen. Sobald Sie zum Ritter geschlagen wurden, haben Sie Zugang zu den Hohen Magisterien, um Ihre Ausbildung zu perfektionieren. 5 Grade bilden diese hohen Grade, die Sie schließlich zu weiteren Entdeckungen führen werden ... René-Pierre AMSELLE DU, der diesen Tempel betreten wird, Welches Geheimnis hoffen Sie zu lüften? Wisse, dass von dem, was du sehen wirst, Sie werden nur wenige Symbole verstehen. Sicherlich werden deine Brüder dich führen, Aber machen Sie sich nichts vor, Wie Sie suchen sie nach dem Geheimnis. Das hält Isis unter ihrem Schleier verborgen. Wir sind die würdigen Söhne des HERMES, Die Natur ist unsere Herrin Und das Universum ist unser Königreich. Obwohl elende Gnome Schöner roter Ton geknetet, Wir haben den Atem des Lebens in uns Der aus einem kalten Golem Hat uns zu Menschen gemacht, die glauben Als schändliches Blei in heiliges Gold Jeder Mensch kann sich umwandeln. DU, der diesen Tempel betreten wird, Das wahre Geheimnis liegt nicht dort: Tauche ein in den Sumpf deines Seins, Anschließend können Sie wiedergeboren werden. WERDE EIN RITTER Aktuelle Artikel EIN WAHRGEWORDENER TRAUM: DIE REISE IM HÖCHSTEN MILITÄRORDEN DER RITTER SALOMONS Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon Association type loi 1901 inscrite en préfecture sous le numéro W 831000941 Inscrit auprès de l’inpi (Institut National de la Propriété industrielle) sous la référence 09 3 701 344 Nous sommes un Ordre de Chevalerie, se référant à l’histoire de l’Ordre des Pauvres Chevaliers du Christ d’Hugues de Payns (1er Grand Maître) Quelques repères : - En 1119 naquit cet Ordre sous l’impulsion de Bernard de Clairvaux (qui deviendra Saint Bernard) 9 chevaliers sont parti en Terre Sainte et se sont installés dans le Temple du Roi Salomon Quelle était leur mission ? Qu’ont-ils rapporté de leurs voyages ? Qu’est devenu l’Ordre durant 2 siècles, qu’ont-ils fait ? Voila une des missions que nous nous sommes donné : rechercher, trouver et transmettre - En 1307 tous les Templiers sont arrêtés par le Roi Philippe Le Bel - Le 18 mars 1314 : Jacques de Molay (23ème et dernier Grand Maître) est brûlé sur l’île aux Juifs à Paris malgré l’absolution du Pape Clément V par le parchemin de Chinon (17 août 1308). A cette date, l’Ordre est dissout mais certains partent de France pour aller soit en Allemagne, en Ecosse ou au Portugal, Espagne... Que faisons nous ? L’Ordre se veut être une école pour former des Chevaliers du 21ème siècle En plus de l’histoire, nous transmettons les valeurs indispensables à savoir tolérance, fraternité et respect. Notre but : l’aide humanitaire de proximité (voir la rubrique : nos oeuvres humanitaires), l'aide aux démunis Par exemple : aide pour centres d’adultes handicapés participations diverses (achat d’un fauteuil roulant spécialisé…) dons aux œuvres sociales des villes qui nous reçoivent (CCAS, épicerie solidaire…) aide dans les maisons de retraite, résidences sénior... bénévolat divers, aide aux démunis aide à l'International Le fonctionnement : Rassemblés en Commanderies, nous nous réunissons une fois par mois en « chapitre ». Les Commanderies (toutes déclarées en préfecture) sont sous la direction d’un Baillage régional. L'Ordre est dirigé par un Conseil International avec le Grand Prieur de l'Ordre S.E. Dominique BOULANGER de CREQUY Dans chaque pays, l’Ordre est dirigé par un collège d’Officiers Nationaux comprenant le Grand Prieur et ses Vice Grands Prieurs, un Maréchal, un Sénéchal, un Chancelier de Justice, un Grand Argentier, Un Grand Secrétaire, un Chancelier Hospitalier. Chaque Commanderie est dirigée par un Commandeur, un collège d’officiers et reçoit des Novices, des Ecuyers et des Chevaliers. En règle générale, les chapitres (réunions mensuelles) sont ouverts au public. En principe, les armements et adoubements de Chevaliers sont pratiqués selon les anciens usages et rituels dans des lieux sacrés (chapelles, églises…) Kontakt Zulassung zum Rang eines Esquire Lettre ouverte d'un Frère Admis au grade d’Ecuyer. En préambule, il me semble utile de faire une petite rétrospective depuis mon arrivée au sein de la Commanderie des Chevaliers d’Argens Préalablement, en qualité d’invité j’ai assisté à plusieurs chapitres pendant quelques mois. Très attentif aux objectifs de l’ordre, au cérémonial, aux divers travaux évoqués, et à la fraternité régnant au sein de la commanderie, j’en ai été attiré et j’ai ressenti le même état d’esprit. L’année dernière j’ai posé ma candidature en qualité de novice, vous m’avez fait l’honneur de l’accepter et m’avez reçu dans l’ordre en septembre. Au début de ma période de noviciat nous étions très nombreux et j’ai été très bien accueilli par l’ensemble de notre commanderie j’en étais très heureux car nous partagions la même idéologie, l’amitié était réciproque. Quelques mois plus tard, en décembre, en la Chapelle St. Pierre, cinq écuyers étaient adoubés et élevés au rang de Chevalier. Ce fut une extraordinaire cérémonie, très émouvante, et j’en garde un excellent souvenir. Depuis, une année est passée, dans ma condition de novice, et j’ai essayé d’être fidèle à mon engagement dans l’Ordre. En respectant dans la mesure de mes possibilités les objectifs de notre Ordre, en assistant et en participant aux chapitres de notre commanderie et celles rattachées à l’O S M C S , en étudiant l’histoire et l’éthique Templière, ses obligations, ses traditions, en effectuant les travaux qui m’ont été demandés, mais surtout, cela nécessite d’opérer des changements, dans sa vie, et dans son comportement, et ce,…..dans plusieurs domaines. Bien souvent, entreprendre des changements s’avère assez ardu, ce n’est pas sans rencontrer quelques obstacles. Parfois la volonté ne suffit pas, et la plupart du temps, il faut continuellement se surpasser afin d’y arriver. Un vieux dicton nous stipule : « Chassez le naturel, il revient au galop » En fait, c’est assez réel. Aussi, il est essentiel d’être vigilant, sans abandon, ni découragement, sachant qu’il y a toujours une solution, notamment celle de demander conseil à son parrain ou un frère ou une sœur. Continuez à demander et l’on vous donnera Continuez à cherchez et vous trouverez Continuez à frapper et on vous ouvrira (Matthieu Chapitre 7 verset 7) Ces versets tirés de la Bible nous prouvent bien que nous ne sommes pas seul et qu’il n’est pas inutile de demander conseil, bien au contraire, je pense même que c’est indispensable.J’avoue avec humilité que j’ai toujours eu du mal à demander, et je suis conscient qu’il faut que je remédie à cet état de fait. Cette période de noviciat m’a beaucoup apporté, tant sur des connaissances dans l’Ordre que sur le plan spirituel. Elle m’a permise de me préparer progressivement à franchir une étape importante Etape dans laquelle intérieurement, j’avais espoir d’y parvenir, celle d’être reçu au rang d'Ecuyer. Et ce jour est arrivé, non sans crainte, et avec une certaine appréhension, ne sachant pas véritablement si j’étais tout à fait prêt et si j’en étais digne. J’en ai déduit qu’après délibération, les membres du Collège des Chevaliers ont du me juger apte à être reçu Ecuyer. J’en suis très honoré et j’en éprouve un sentiment de reconnaissance. Lors du Chapitre d’octobre, en présence des Dignitaires de l’Ordre et des Frères et Sœurs de la Commanderie, notre Très Noble Commandeur m’a fait appeler afin de m’élever au grade d’Écuyer. J’étais très ému durant tout le cérémonial de passage, notamment lors de mes paroles prononcées devant notre Beaucéant, sur la signification et les symboles des couleurs noires et blanches. Une des couleurs que j’allais maintenant abandonner, le noir, pour revêtir la chasuble blanche. Qu’elle profonde émotion, j’étais sincèrement très heureux.Ce fut un grand honneur pour moi et une grande joie d’être revêtu de la chasuble blanche. Des paroles éloquentes ont été commentées à mon égard par les dignitaires et par les Frères et Sœurs. j’en été attendri et gêné en même temps, ces compliments étaient élogieux , réconfortants, et encourageants je n’en mérite pas tant.Je ne saurai jamais assez les en remercier. Il est évident que pour moi ce franchissement est une grande satisfaction,c’est en quelque sorte une belle récompense, j’y suis très sensible, mais ce n’est qu’une étape. Il va falloir assurer une continuité en s’investissant plus intensément concernant certains points sur lesquels je me pose des questions : Que dois-je maintenant approfondir plus particulièrement ? Quelles tâches ou missions suis-je susceptible de remplir au sein de notre commanderie ? Et suis-je assez disponible pour les accomplir ? Suis-je assez compétent et en aurai-je la possibilité ? Mais ce dont je suis sûr, c’est qu’il faut envisager dans l’avenir une accession à la chevalerie, et pour ce faire, je suis conscient qu’il y a du travail en perspective, et que le chemin est encore long. Pour le moment je suis écuyer, ….à propos !! Qu’est-ce qu’un écuyer ? Remontons un peu dans l’histoire : Il ne fait aucun doute qu’il nous faille remonter aux temps les plus anciens de la Chevalerie pour retrouver l’origine du nom écuyer. Plusieurs sens en ont été déduits. Jadis, l’écuyer prenait soin des chevaux appartenant aux chevaliers. A l’époque féodale, l’écuyer, jeune noble, effectuait son apprentissage auprès d’un Chevalier il l’accompagnait , lui servait de second et avait la garde de son écu blasonné, de sa devise , et de ses symboles . Et l’écuyer ne pouvait accéder à la chevalerie qu’en ayant fait ses preuves. Actuellement, constatons que le même état d’esprit perdure, et qu’il y a de grandes similitudes chez les Chevaliers de nos jours. L’écuyer apprend auprès des Chevaliers. L’écuyer se met au service des membres de la Commanderie. Un Chevalier parraine l’écuyer au long de son parcours et lui inculque l’enseignement nécessaire L’écuyer ne peut espérer être adoubé Chevalier que lorsqu’il sera prêt moralement et spirituellement. Et c’est ce que je dois préparer assidûment maintenant Lors de mon noviciat, si j’ai acquis quelques connaissances grâce à l’ensemble des Sœurs et frères, j’ai également rencontré de petites « embûches » peut-être prévisibles mais, il m’est essentiel à ce jour, d’essayer d’y remédier et de prendre conscience de mes buts recherchés, non seulement au sein de notre Ordre, mais également dans la vie courante. Un Chevalier n’est pas Chevalier uniquement lorsque nous sommes réunis il doit l’être dans l’âme, dans son « moi intérieur » et en appliquer ses principes quotidiennement. Principes fondamentaux qui sont par exemple : Une intégrité morale et comportementale qui implique une parfaite honnêteté incorruptible, une loyauté vis-à-vis d’autrui et de soi même. Une fidélité : Au respect de nos traditions, à notre amitié, à honorer nos engagements et nos promesses Toutes promesses doivent être tenues, et l’action doit être résolue . Une obéissance volontaire et sans réticence : A notre éthique, à nos missions, à notre assiduité aux chapitres, à nos règles communes , etc.….. Il est de notre devoir d’accepter une obéissance : aux lois divines, aux lois de notre société, et à notre hiérarchie dans l’Ordre. Agir : Mais agir de façon réfléchie et, autant que faire ce peut …. avec sagesse, dignité et humilité afin d’acquérir une attitude humble. J’ai eu un professeur qui nous conseillait de réfléchir sur cette maxime de CONFUCIUS, elle résume bien des interrogations Ce que vous connaissez, vous le connaissez, ce que vous ne connaissez pas, vous ne le connaissez pas.C'est-à-dire la véritable connaissance est de reconnaître ce que nous savons et d’admettre ce que nous ne savons pas , nous ne devons pas être présomptueux mais rester humble. Servir : Servir dépend d’un libre choix et d’une décision toujours renouvelée. Savoir servir avec dévouement et efficacité Servir son prochain En LUC Chapitre 10 v.27 de la Bible Tu aimeras ton prochain comme toi-même En appliquant ce précepte : si j’aime mon prochain !! ….je n’hésite pas à le servir, à lui proposer de l’aider, de l’assister, d’être à l’écoute, de le soutenir quant il est dans le besoin. Savoir.. en toutes occasions, donner, et se rendre utile. Voilà, en qualité de jeune écuyer : En particulier, j’ai retenu ces quelques principes que je viens de vous énumérer. Je souhaite pouvoir toujours les appliquer afin qu'ils m'aident à progresser dans la foi et dans mon parcours pour espérer peut être un jour, si j’en suis digne, revêtir le Manteau Blanc du Chevalier. Je termine par cette citation Biblique en Galates Chapitre 6 v . 2 Aidez vous les uns et les autres à porter vos fardeaux En toute occasion, faisons le bien et prions car c’est une manière d’accomplir la loi du Christ, et méditons sur ce proverbe : Il y a plus de plaisir à donner qu’à recevoir Kontakt Wappen der Familie Crequy Gold für den Gläubiger von Rot ... de CREQUY: mächtige Familie aus Hauts de France, Vorfahren von SE Dominique BOULANGER de CREQUY, eng verbunden mit der Geschichte des Templerordens und in genealogischer Verbindung mit den Gründern des Templerordens Genealogie der "de CREQUY" Zurück zur Startseite
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On notera également que sur les 6 templiers présents, 4 sont du nord de la France. Donc pourquoi pas aussi Hugues ? Le 6ème, un certain Rollandus n’existera plus après ce concile ; On dit de lui qu’il appartient au Marquisat de Provence ; après étude, je n’ai pas trouvé de Rolland dans les arbres généalogiques dudit marquisat. Et des noms bien plus séduisants y figuraient (comte de Saint Gilles, comte de Toulouse…). Je pense que là encore, il y a eu une erreur de transcription. Peut être (même surement) faisait-on allusion à Roral, alias Robert de Craon, lui aussi relié à la famille de Saint Omer comme nous le verrons plus loin. Donc, les premiers fondateurs seraient, d’après nous : HUGUES DE PAYEN, fondateur de l’ordre et premier Grand Maître GEOFFROY DE SAINT OMER ROBERT DE CRAON, qui deviendra 2ème Maître de l’Ordre ANDRE DE MONTBARD, oncle maternel de Saint Bernard et ensuite 5ème Maître de l’Ordre ARCHAMBAUD DE SAINT AMAND HUGUES RIGAUD, Originaire du Languedoc PAYEN DE MONTDIDIER BERNARD ROLLAND ( ?) GEOFFROY DE BOSSOIT Pendant ce temps, en terre d’Aragon (sud de France) se crée L'ordre de Saint-Sauveur de Montréal (que certains confondrons avec l’Ordre de Montesa) par le roi d’Aragon, Alphonse 1er. 1134 Traité de Saint Bernard sur la Milice nouvelle. 1136 (24 mai) Mort d'Hugues de Payen. - Robert de Craon, 2ème Maître du Temple. Qui est donc réellement Robert de Craon ? Il n’est autre que le frère de Mahaut de Craon, qui épousa cette même année 1136 un certain Raoul Radulphe de Créquy, seigneur de Flandres et parent des châtelains de Saint Omer. Ainsi, Robert de Craon, le bourguignon, est très lié au nord et aux familles de Flandres et d’Artois. On peut aisément comprendre qu’il succède à Hugues en tant que Grand Maître, surtout si ce Hugues est celui de Saint Omer. De plus, il est nommé et non élu : ce n’est, en effet, qu’un 1139, que Robert de Craon fait modifier la règle de l’Ordre et notamment y fait ajouter les articles 198 et suivant concernant l’élection du Grand Maître. Quoi de plus normal alors que de nommer pour successeur quelqu’un de très lié aux familles du nord, donc aux familles des fondateurs. Quoi de plus normal enfin que de retrouver Robert de Craon au concile de Troyes inscrit sous le nom de Roral ( ?) au lieu de Rolland, ce que confirment aujourd’hui certains historiens. Roral qui n’est autre que son cri de guerre : Ro pour Robert ; Ral pour « rallie » de rallier, rassembler. 1139 Le Pape Innocent II confirme l'ordre du Temple par sa bulle, Omne datum optimum au 1er concile du Latran. 1143 Baudouin III, devient roi de Jérusalem. Ici, une précision s’impose : Baudouin III est fils de Foulque d’Anjou et de Mélisende. C’est à partir de Baudouin II (neveu de Baudouin Ier de Boulogne) que les successeurs seront désignés parmi la famille royale et non plus élus ; ainsi, à sa mort c’est sa fille Mélisende, mariée à Foulque d’Anjou qui deviendra Reine de Jérusalem (1131). C’est, d’ailleurs, Baudouin II qui accorda aux pauvres Chevaliers du Christ et du Temple le port de la croix patriarcale (croix inverse de la croix de lorraine, rouge), croix du Patriarche de Jérusalem – de cette croix, on n’est pas sur que les deux traverses aient été de dimensions différentes d’ailleurs. Cette croix fut portée jusqu’à ce que le Pape Eugène III leur accorde la croix pattée rouge. Certains hauts dignitaires de l’Ordre continuèrent cependant de porter la croix patriarcale. On retrouve cette croix dans les archives des Bouches du Rhône sur le sceau d’un Précepteur du Poitou. 1147 (13 janvier) Mort de Robert de Craon. - Evrard des Barres devient 3 ème Maître du Temple. Concernant ce Grand Maitre, on ne trouve pas grand-chose : premièrement, on n’est pas sur qu’il ait été Grand Maitre puisque ne figurant pas forcément dans toutes les listes des Maitres du Temple, à commencer par celle de l’obituaire de Reims. Quant à la liste fournie par l’Ordre des Hospitaliers, il est confondu avec Robert de Craon. Deuxièmement, on le trouve tantôt fils de Claude des Barres, tantôt fils de Guillaume des Barres, tantôt seigneur champenois, tantôt originaire d’alsace, et l’on n’est même pas sur de son nom : des Barres, Barrès… folgende Zurück zur Startseite
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IN DER ZWISCHENZEIT PASSIERT AUCH IN PORTUGAL Don Alfonso Henriques déclare l’indépendance du Portugal en 1143 Son père n’est autre que Henri de Bourgogne, lui-même petit fils de ROBERT 1ER LE VIEUX de Bourgogne, famille qui se relie aux de CRAON par le mariage D’Adela de France, sœur de Robert le vieux. Immédiatement se crée l’Ordre du Temple Portugais, dont le premier Maitre sera Hugues de Montoire (ou Martins) 1148 Eugène III fixe définitivement l'habit des chevaliers du Temple et leur donne la croix rouge. 1151 Evrard des Barres démissionne et se retire à Clairvaux. Dans l’attente d’une nouvelle élection, on trouve parfois trace d’un « Hugues » ou « neveu d’Hugues » qui serait Maitre du temple ; serait-ce Oston de Saint Omer, celui que l’on retrouve en tant que Maitre du temple sur certains documents ? Ensuite, Bernard de Tremblay est élu 4e maître du Temple. De ce 4ème Maitre on ne sait pas grand-chose ; même son nom est controversé : parfois Bernard de Tramelay, ou Dramelet, parfois de Tremblay ; tantôt bourguignon, tantôt du Jura. 1153 (19 août) Mort de Bernard de Tremblay au siège d'Ascalon. (20 août) Mort de Saint Bernard à Clairvaux. André de Montbard, accepte à l'âge de 51 ans, étant le dernier des neuf fondateurs, de devenir le cinquième maître de l'Ordre . Il empêche ainsi l’élection de Guillaume II de Chanaleilles qui, en tant que favori du roi Louis VII de France , aurait permis à ce dernier de contrôler l'Ordre. Mais il est possible qu’entre les deux, il y ait eu un certain Evrard II, en intérim. 1156 Bertrand de Blanquefort devient 6ème Maitre du Temple ; très peu d’informations sur lui. Peut être que son nom était de Blanchefort… 1169 Mort de Bertrand de Blanquefort. Philippe de Milly ou de Naplouse, 7ème Maître du Temple. Philippe de Milly est de Picardie, peut être même de Montreuil (Pas de Calais) ; son père Gui de Milly aurait épousé Stéphanie de Naplouse (de Nablus), cousine d’un certain Payen A partir de ce Maitre, seront élus beaucoup de Chevaliers présents en terre Sainte, certains étant même nés en Terre Sainte, ceci pour des raisons évidentes de rapidité d’élection et de prise de fonction. 1171 Philippe de Milly démissionne. Eudes de Saint-Amand, 8ème Maître du Temple. Eudes de St Amand serait apparenté à Archambaud de Saint Amand, un des 9 fondateurs, et bien sur de Picardie. 1174 Baudouin IV, roi de Jérusalem 1181 Mort d'Eudes de Saint-Amand. L'intérim sera assuré par Philippe Berruyer, archevêque de Bourges, et oncle d'Odon de Saint-Amand. Puis, Arnaud de la Tour Rouge, ou de Toroge, sera élu 9ème Maître du Temple. Il était jusqu’alors Maitre de la province d’Aragon et d’Espagne. Il est fils d’Amaury et Isabelle d’Anjou. 1184 Mort d'Arnaud de la Tour Rouge à Vérone. Gérard de Ridefort, devient 10ème Maître du Temple, originaire de Flandres. 1185/1186 Mort de Baudouin IV. Coup d'Etat de Guy de Lusignan aidé par Gérard de Ridefort. 1189 Mort de Gérard de Ridefort au siège d'Acre. Le poste de Maître reste vacant plusieurs mois, les Templiers en profitant pour réformer certains points de la Règle qui concernent en particulier les mesures disciplinaires à prendre en cas de manquement à ses responsabilités du dirigeant suprême de l'Ordre. Puis, Robert de Sablé, est élu 11ème Maître du Temple. Il est, par alliance, issu de la famille des de Créquy, et des de Craon. 1193 Mort de Robert de Sablé. Gilbert Erail devient 12ème Maître; il est de la région d’Aragon. 1196 L'ordre de Saint-Sauveur de Montréal, créé en 1120, est alors affilié au Temple; dans le royaume d'Aragon, c'est la fin de cet ordre. Voilà l’histoire d’un siècle de l’ordre du Temple. Mehr lesen Zurück zur Startseite
- Servir | OSMCS
Servir Frère Joël Magnet Réflexion d'un vieux serviteur sur la notion de « servir » Servir, ce mot permet de préciser qu’un individu ou un sujet fait partie intégrante d’une entité, telle qu’une entreprise, une organisation, une association, ou même une famille. Choisir de servir constitue un choix éclairé, renforçant notre identité et notre place dans le monde. Dans un monde en constante évolution, la notion de service prend une importance capitale. Servir les autres ne se limite pas à un simple geste altruiste, mais elle est au cœur même de notre existence. Servir, c’est s'acquitter envers quelqu'un, une collectivité de certaines obligations, leur consacrer son activité : Bien servir sa patrie. Mais servir, c’est aussi apporter à quelqu'un, quelque chose, son aide, son appui : Ne dit on : Il est toujours prêt à servir ses amis., Servir, c'est sortir de notre zone de confort pour aider, soutenir et être bon avec les autres, tout en étant sensible à leurs besoins. Le chevalier moderne pour être amené à servir, se doit d'avoir des valeurs éthiques et spirituelles, tels que honnêteté, intégrité, générosité, résilience, compassion, dévouement, loyauté, respect, justice et foi. La chevalerie n'est pas morte, écrit Olivier de Lespinats dans son dernier livre, elle a simplement pris de nouvelles formes, nous invitant à devenir des défenseurs d'un monde meilleur, armés de valeurs profondes et d'un engagement sincères envers la justice , la fraternité et la dignité humaine. Dans un monde en constante mutation où les repères moraux et étiques semblent parfois s’effriter, les valeurs chevaleresques apparaissent comme une ressource précieuse. La chevalerie nous enseigne que chaque petit geste compte et que l'action collective peut transformer le monde. La chevalerie moderne est marquée par une grande diversité, car elle peut être incarnée dans différents contextes et domaines de la vie, tels que le sport, les arts, la politique,les affaires, les relations sociales et les interactions personnelles. Choisir de devenir chevalier aujourd'hui, c'est vouloir se révéler un guide pour les autres, un défenseur de la justice, et un acteur de la paix, tout en cherchant constamment à cultiver ses propres vertus. Roland J. Maroteaux dans un ouvrage, précise : La chevalerie reste une immense fraternité qui rassemble des hommes et des femmes partageant le même idéal de paix et d'amour. Ne pas perdre de vue qu'être chevalier c'est avant tout, mettre en application, au quotidien, certaines valeurs délaissées, c'est à dire toutes les valeurs humaines jugées indispensables à notre civilisation mentale et spirituelle, en quelque sorte : servir,…en « s'adaptant pour réussir» dans l’action entreprise. La question pourrait se poser : Pourquoi envisager de servir, aujourd’hui ? Dans notre civilisation actuelle, il semblerait que l’individualisme ait pris le pas sur le sens de l’entraide, de l’assistance, de l’aide, du secours, sur le fait tout simplement, de rendre service ! Ce genre de situation, que l’on pourrait nommer « l’individualisme » pourrait conduire au fait que certains, beaucoup trop, pensent que tout un chacun n’ a pas besoin d’autrui pour vivre, pour exister, pour évoluer, alors qu’il n’en est nullement le cas. Malheureusement, nous connaissons tous quelqu’un, à l’apogée de sa réussite (en tous genres) qui a , ou qui a eu , une attitude dédaigneuse, irrespectueuse, conquérante, pour parvenir à ses fins et qu’à un moment de son existence cette personne s’est retrouvée dans un besoin (en tous genres). Il n’est jamais trop tard pour changer, pour aménager son comportement, mais que de temps perdu, de forces dépensées, de mépris adressés, pour à un moment donné de la vie, juste pour être ou avoir été, paraître, et pouvoir se targuer d’avoir réussi, en écrasant parfois les autres sur son passage sans vouloir l’admettre, bien entendu ! Un dirigeant n’est rien sans son entourage, ses collaborateurs, ses salariés, ses clients, et vice et versa, la base a, à un moment donné, besoin d’avoir recours à l’étage supérieur, à la reconnaissance, à la rétribution, par son employeur décideur ! Il est écrit dans de nombreux endroits « un jour viendra….. » où tout un chacun pourra avoir besoin de l’aide de son prochain, et parfois plus vite que l’on ne le pense, que l’on ne l’imagine. Alors pourquoi attendre que le jour du besoin d’autrui se fasse sentir, pour se culpabiliser et se dire « ha, si j’avais su, lorsque je le pouvais, j’aurai dû m’engager dans telle ou telle voie, dans telle ou telle action, au lieu d’attendre aujourd’hui que l’on me vienne en aide, ou que je ne puisse plus agir car mes forces actuelles m’abandonnent pour envisager de faire quelque chose ». Chacun d’entre nous connaît autour de soi quelqu’un(e) qui pourrait s’investir, apporter du mieux être à autrui, modestement, à son niveau, mais qui ne voit pas l’utilité, la nécessité , de se mettre en mouvement. C’est bien l’expression adaptée à retenir « se mettre en mouvement » , qui doit retenir l’attention , et créer un déclic pour s’investir. Car le laxisme, c’est aussi à quelque part une forme, d’individualisme, de complicité silencieuse au laisser faire, tout en paraissant à l’écoute et à la compréhension d’une situation . Ha voir, écouter, s’éclairer, agir, seraient peut-être des actions à inscrire dans le répertoire de réflexion de certains ! Servir les autres est essentiel pour une vie épanouissante. Cela signifie adopter une habitude, pas juste faire un geste ponctuel, c’est être utile à quelqu’un ou à quelque chose. Servir, c’est aussi savoir donner de son temps, être bénévole, et ainsi être accompli. Bien entendu, à l’impossible nul n’est tenu; on ne peut pas exiger de quiconque ce qui lui est impossible de faire !
- histoire de l'ordre du temple et de l'osmcs
l'osmcs se veut être en lien généalogique avec l'Ordre du Temple d'Hugues de Payns GESCHICHTE DES TEMPELORDENS Einführung Hier ist zunächst, was wir im Allgemeinen in unseren Geschichtsbüchern, Wörterbüchern usw. finden: Der Templerorden war ein religiöser und militärischer Orden, der aus der christlichen Ritterlichkeit des Mittelalters hervorging und dessen Mitglieder Templer genannt wurden. Dieser Orden wurde anlässlich des Konzils von Troyes im Jahr 1129 aus einer Miliz namens „Arme Ritter Christi“ und „Tempel Salomons“ gegründet. Er war im 12. und 13. Jahrhundert im Rahmen des Heiligen Krieges und der Kreuzzüge als Begleiter und Schutz für Pilger nach Jerusalem tätig. Der Orden entwickelte sich zu einer Finanzmacht, die sogar dazu führte, dass er mit bestimmten Königen Geschäfte abschloss oder die Verwahrung königlicher Schätze innehatte. Nach dem endgültigen Verlust des Heiligen Landes im Jahr 1291 fiel der Orden dem Kampf zwischen dem Papsttum und dem König von Frankreich, Philipp dem Schönen, zum Opfer. Er wurde 1314 von Papst Clemens V. aufgelöst. Das tragische Ende des Ordens führte zu zahlreichen Spekulationen und Legenden . » So fassen wir zwei Jahrhunderte Geschichte zusammen, wenn man die von den Kreuzfahrern verübten Massaker hinzuzählt! Also zunächst eine Klarstellung: In 200 Jahren gab es nur 20 große Schlachten und der Preis für das tödlichste Jahrhundert geht an das … 20. Jahrhundert! Aber Geschichte kann man nicht erfinden. Es wird Tag für Tag geschrieben. Und so soll es sein. Es wird jedes Mal neu geschrieben, wenn das Wissen zunimmt und Entdeckungen gemacht werden. Die Erfindung oder Annahme wird nichts weiter sein als ein Roman, der dem eigenen Vergnügen dienen soll oder, schlimmer noch, der Manipulation der Unwissenden. Der Beweis oder zumindest der Beginn eines Beweises wird den wahren historischen Bericht stützen. Niemand ist im Besitz der Wahrheit, außer wenn es um Dinge aus der Vergangenheit geht, vorausgesetzt, er kennt die Quellen und besitzt oder hat die entsprechenden Dokumente gelesen. Ausgenommen hiervon sind natürlich alle Fälschungen, die erfunden wurden, um ehrliche Menschen zu täuschen. Die Schlussfolgerung des Autors kann nur dann bestehen, wenn sie durch authentische, überprüfte Fakten gestützt wird … „Sie können das Unbekannte nicht kennen, wenn Sie am Bekannten festhalten.“ Robert Fisher – Der Ritter in der rostigen Rüstung Folgendes... Zurück zur Startseite
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Der Erste Kreuzzug endete mit der Eroberung Jerusalems im Jahr 1099. Nach diesem ersten Sieg wurde Gottfried von Bouillon der Titel des Königs von Jerusalem angeboten. er wird es ablehnen, den Titel eines Anwalts des Heiligen Grabes anzunehmen. Dies lässt bereits seinen ursprünglichen Zweck erahnen. Er gründete den Orden der Kanoniker vom Heiligen Grab , einen Orden, dessen Aufgabe es war, den Patriarchen von Jerusalem bei seinen verschiedenen Aufgaben zu unterstützen. Eine Anzahl Soldaten aus dem Kreuzzug traten daraufhin in den Dienst des Patriarchen, um das Heilige Grab zu schützen. Diese Einrichtung besteht noch heute. Gottfried von Bouillon kehrte nach Frankreich zurück und schenkte seiner Mutter eine kostbare Reliquie des Christentums: das Heilige Blut. In Boulogne-sur-Mer (Pas de Calais – Frankreich) wurde dieser Reliquie eine Kapelle gewidmet; alles verschwand während der Revolution im Jahr 1789. Es war Gottfried von Bouillons Bruder, Balduin von Boulogne, der zum König von Jerusalem gewählt wurde. Als wenig später dem 1113 anerkannten Johanniterorden die Aufgabe übertragen wurde, sich um die aus dem Westen kommenden Pilger zu kümmern, entstand die Idee, eine Miliz Christi (Militia Christi) zu gründen, die sich ausschließlich mit dem Schutz der Gemeinschaft der Kanoniker des Heiligen Grabes und der Pilger auf den Straßen des Heiligen Landes befassen und dann den örtlichen Räubern zum Opfer fallen sollte. So kümmerten sich die Kanoniker um liturgische Angelegenheiten, der Hospitalorden um karitative Aufgaben und die Miliz Christi um die rein militärische Funktion des Pilgerschutzes. In Frankreich, im Jahr 1098 Wir erleben die Gründung des Ordens von Cîteaux (der Zisterzienser) durch Robert de Molesme. Dieser Orden verdankt später einem gewissen Abt Bernhard von Clairvaux, einem Abt, der später zum Heiligen Bernhard wurde, viel. 1118 Tod von Gottfried von Bouillon. 1119 Krönung Balduins zum König von Jerusalem. Zu dieser Zeit wurde der König von Jerusalem gewählt. 1119 Gründung des Templerordens durch Hugues de Payen (wer stammte aus der Champagne?) und Geoffroi de Saint-Omer. Mehrere Historiker sind sich über das Datum nicht einig. Manche sprechen von 1118, andere von 1119. Eine Kalenderänderung, wonach das Jahr nicht mehr im März, sondern im Januar beginnt, erleichtert das Studium nicht. Dies ist jedoch von geringer Bedeutung, da die eigentliche Schöpfung während eines Konzils in Troyes im Jahr 1129 stattfinden wird. Ich für meinen Teil werde mich an das Jahr 1118 erinnern, das Todesjahr von Gottfried von Bouillon, und daher ist es ziemlich wahrscheinlich, dass mit der Gründung des Ordens unmittelbar nach dem Tod der Person begonnen wurde, die mit Sicherheit sein Anstifter war. Das Wichtigste hierbei ist die Gründung der Armen Ritter Christi (wie sie ursprünglich hießen) durch zwei Personen, nämlich Hugues de Payen (Hugo de Paganus) und Geoffroi (oder Godefroy) de Saint Omer. folgende Zurück zur Startseite
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Continuons notre recherche des fondateurs de l’Ordre : Nous arrivons en 1129, plus exactement le 13 janvier. C’est le Concile de Troyes (je dis bien 1129 et non 1128 car désormais il est acquis cette date par les historiens – là encore, le problème de calendrier changeant) Y sont présents, et confirmés par document selon Simonetta Cerrini, historienne Italienne, en 2007 : le légat du Pape, Le cardinal Matthieu d'Albano , les Archevêques : de Reims , Raymond de Martigné , de Sens , Henri Ier dit « le sanglier de Boisfrogues » Je donne ici les noms en français, exprès, pour bien montrer que quand on veut les connaître, c’est possible ! Les Évêques : L'évêque de Chartres , Geoffroy II de Lèves L'évêque de Soissons , Josselin de Vierzy L'évêque de Troyes , Hatton (ou Atton) L'évêque d'Orléans , Jean II L'évêque d'Auxerre , Hugues de Montaigu ou de Semur L'évêque de Meaux , Burchard L'évêque de Châlons-sur-Marne , Herbert L'évêque de Laon , Barthélemy de Jur L'évêque de Beauvais , Pierre Ier L'évêque de Paris , Etienne de Senlis Les Cisterciens : L'abbé de Citeaux , Étienne Harding , fondateur de l’abbaye de Citeaux L'abbé de Clairvaux , Bernard L'abbé de Trois-Fontaines , Roger L'abbé de Pontigny , Hugues de Mâcon Les Bénédictins : L'abbé de Vézelay , Raynaud de Semur L'abbé de Molesmes , Guy Les Chanoines réguliers : L'abbé de Reims , Ursion L'abbé de Saint-Étienne et de Dijon , Herbert (ou Humbert) Le chanoine et docteur en théologie , Albéric de Reims Le chanoine et docteur en théologie , Fulcher Les Seigneurs : Le comte de Champagne Thibaut IV de Blois (Hugues de Champagne ayant abdiqué en sa faveur et décédé en 1126 André de Baudemont, sénéchal du précédent Le comte d'Auxerre, de Tonnerre et de Nevers , Guillaume II de Nevers (famille apparentée aux de Craon) Voici donc des noms bien précis ! Et enfin, Les Templiers : Hugues de Payns (hugo de paganus) Godefridus (=Gondemare ? ) Rollandus (Marquisat de Provence, Vaucluse actuel) Gaufridus Biso/Bisol = Geoffroy de Bossoit (Comté de Hainaut, Frameries, Belgique actuelle) Paganus de monte Desiderii = Payen de Montdidier (dans la Somme, en Picardie) Archembaudum de Sancto Amano = Archambaud de Saint-Amand Seuls, les noms des templiers présents ne sont pas traduits en français. Mieux encore, on ne comprend pas tous les noms… Ici, on traduit Paganus de Monte Desiderii en Payen de Mondidier, (certains diront de Mondésir mais cela ne correspond à rien, aucune ville, aucun site de ce nom), donc Paganus est traduit en Payen ; mais Hugo de Paganus , en Hugues de Payns ; Surprenant ! Pourquoi pas en Hugues de Payen ? Pour ce qui est de Godefridus il est écrit aussi Gondemare, n’oublions pas que le scribe, à l’époque, n’a que ses oreilles pour inscrire le nom et qu’il n’est pas aussi facile qu’aujourd’hui de transcrire. Il faut savoir que Geoffroy de Saint Omer s’écrivait en latin Giofredo de Audomaris (d’où le nom de la province du Pas de Calais, l’audomarois, ainsi que le nom des habitants de Saint Omer, les audomarois et audomaroises.) Donc Giofredo de Audomaris peut devenir G.Audomaris, soit en lecture Gaudomaris, que, plus tard, on pourra transcrire par Gaudemare ou Gondemare. Ceci semblerait plus logique de faire ainsi participer Goeffroy de Saint Omer au Concile, pour une affaire qu’il a lui-même initiée. Mehr lesen Zurück zur Startseite
- Grande cérémonie internationale | OSMCS
Große internationale Zeremonie 24., 25., 26. Oktober 2025 Alle diese Zeremonien sind für die Öffentlichkeit zugänglich, nach Reservierung Unterkunft und Verpflegung vor Ort nach Reservierung möglich Für weitere Informationen kontaktieren Sie uns bitte Einige Fotos
- Devenir Chevalier De L'o.s.m.c.s. | Osmcs
devenir chevalier : osez ! l'osmcs est un ordre de chevalerie templière à but initiatique et humanitaire WERDEN SIE EIN RITTER DER OSMCS Sich trauen... Oder Dame der Ritterlichkeit, weil unser Orden gemischt ist Entdecken Sie die verschiedenen Phasen und die Entwicklung der Wissensvermittlung Kontakt WARUM BIN ICH EIN RITTER? Von Dominique BOULANGER de CREQUY - Großprior der OSMCS Poussé par un ami, beaucoup par curiosité, je me suis retrouvé avec d’autres, un certain soir, dans un local décoré de tentures, de croix, de cierges, tapis et autres objets, face à des personnes habillées d’un manteau blanc à croix rouge sur le côté gauche et portant l’épée. Un léger parfum d’encens, une musique sacrée, un cérémonial parfait, des paroles fortes mais rassurantes quant à la suite des évènements, m’ont conduit devant le Maître des lieux, le Commandeur. A chaque question j’acquiesçais, comme baigné et gagné par l’atmosphère sacrée. Puis vint l’apposition de la lame de son épée sur ma tête. Ce soir là, je suis devenu Novice du Temple. Ce n’est qu’après quelques « chapitres », nom donné à nos réunions mensuelles, que j’ai véritablement pris conscience de mon nouveau rôle dans la société : plus le temps passait, plus je côtoyais mes sœurs et mes frères, et plus je redécouvrais, ou même apprenais, les valeurs morales et spirituelles indispensables à toute société et, plus que jamais, valeurs parfaitement adaptées à la société moderne. Ces valeurs, j’en ai trouvé 12 Le courage D’être, de vivre dans l’action, d’aller dans le bon sens quoi qu’on dise, quoi qu’il arrive. Le courage parfois d’admettre que je me suis trompé et reconnaître aussi que j’en sais moins que l’autre. L’honnêteté L’honnêteté de se connaître, de se respecter pour ainsi respecter les autres. L’honnêteté de reconnaître ses défauts, et si on ne les voit pas, de regarder dans le miroir qu’on nous met sans cesse en face de nous ! La tolérance La tolérance et donc l’implication honnête et courageuse dans toutes nos relations sociales. La justice La justice ou la recherche de l’équilibre. En géométrie, pour tracer une médiatrice, on a besoin de connaître les deux extrémités ; mieux, on doit s’appuyer sur ces deux extrêmes ; On a aussi besoin de s’élever pour trouver ce point haut qui, à l’aide de l’équerre nous donnera le milieu. Ainsi, sur le segment allant de la haine à la passion, le milieu s’appelle amour fraternel. L’obéissance et le respect Nous devons comprendre dans ce mot le respect de la hiérarchie car celui qui est au dessus de moi en sait forcément d’avantage ; mais j’ai appris que je n’obtiendrai le respect que si je suis moi-même respectable. La tempérance La modération, la mesure en tout : parole, gestes, comportements La persévérance Elle est indispensable pour aller du passé vers l’avenir ; elle est obligatoire pour gravir les marches de l’apprentissage, car je ne l’oublie pas : je suis toujours un novice, même avec mon épée et le manteau de Chevalier. La persévérance doit être de mise pour appliquer la tolérance, l’obéissance, la justice, l’honnêteté, le courage, et les autres valeurs. L’humilité Je me reconnais à ma place car je ne sais rien (ou si peu) et surtout je ne juge pas. La simplicité Vivre en accord avec soi, être en phase avec son cœur. Ainsi toute complication émotionnelle, tout problème de communication disparaîtront.Etre soi c’est « ne pas risquer d’être un autre » ; être soi pleinement donc, mais l’être en Chevalier La confiance La confiance en l’autre tout d’abord : dans notre Ordre, nos Sœurs et nos Frères ne peuvent pas nous décevoir. La confiance en soi ensuite : Je pense à cette phrase du livre sacré : je suis celui qui est ; peut être que cela voulait dire « je suis celui qui devient ».Alors pourquoi n’aurais-je pas confiance en moi si j’applique quotidiennement ce que j’apprends ? Je deviendrai sûrement un jour quelqu’un de bien ! En allant plus loin, la confiance sera aussi la foi, l’abandon à une volonté supérieure, et en restant dans le sacré, religieux, nous ne risquons rien. La compassion C’est l’aboutissement (presque) de nos efforts ; c’est se positionner enfin en tant « qu’être humain » entre ciel et terre, la tête dans les étoiles et les pieds sur terre. Compatir, c’est ressentir comme l’autre c’est l’union, jusqu’à la fusion, car nous sommes issus de la même source et il n’y a pas de meilleur endroit qu’un Chapitre pour le dire. La patience C’est oublier le temps (le Temple est hors du temps, nous dit-on) ; c’est avancer, non avec passion car elle est destructrice, mais avec amour fraternel et oublier aussi sa montre, son portable, son estomac; c’est profiter de ces instants magiques que sont nos chapitres pour ressentir nos vibrations, s’en remplir, écouter pour apprendre encore et encore et après, quand l’heure est venue, continuer, toujours dans l’amour, par le partage du pain et du vin. 12 valeurs ; 3 X 4 ; 3 comme le plan, 4 comme le volume. Multiplions le plan par le volume pour obtenir l’infini, la sphère sans sa circonférence. Remplissons l’espace de nos comportements sans faille et à partir de là, essaimons ! Plus le temps passe donc, plus je comprends qu’être Chevalier c’est un art de vivre, une philosophie, une règle de vie qu’on s’impose tous les jours. Plus le temps passe, plus je comprends aussi que le sacré nous mettant hors du temps et de l’espace, va nous protéger du négatif rencontré dans le monde profane et nous remplir le corps et l’esprit. Plus le temps passe, plus je comprends pourquoi je suis aujourd’hui un Chevalier. Je suis Chevalier du Temple parce que je suis chrétien. Je suis Chevalier de l’Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon parce qu’au plus profond de mon être, je ressens que la chrétienté a besoin, aujourd’hui plus que tout, de notre aide, si petite soit-elle. Chevalier pour défendre et servir une certaine idée de la Religion (Religion de Religare, donc relier), sans extrémisme, dans son sens le plus général, sans exclusion aucune, et d’une certaine manière rejoindre l’idée de laïcité si chère à la France. Chevalier pour défendre La Liberté, liberté de pensée, libertés acquises, liberté d’être tout simplement. Chevalier pour apprendre, conserver et transmettre notre patrimoine historique et culturel. Chevalier pour servir, sans attendre de remerciements, sans être honoré, sans autosatisfaction : les félicitations reçues ne devant servir qu’à poursuivre le chemin ! Chevalier, non pour paraître, mais pour être. On ne s’improvise pas Chevalier : on le devient ! Je suis Chevalier par cette impulsion inconsciente qui vient de très loin et qui, un jour, m’a poussé à accepter l’invitation dont je parlais plus avant, puis à continuer dans cette voie. Je suis Chevalier certainement aussi parce que certains de mes ancêtres étaient des Templiers (chevaliers, hospitaliers) ayant combattu lors des croisades, certains mêmes fondateurs de l’Ordre du Temple, Pauvres Chevaliers du Christ, comme Geoiffroy de Saint Omer ou Robert de Craon, ou encore Grand Maître comme Robert de Vitré. Je suis Chevalier dans mon cœur, dans mon corps et mon esprit, dans mon comportement. Peut être aussi pour assurer une petite continuité dans la lignée des « de Créquy », famille française illustre dont je suis issu, dont des grands noms ont participé, chacun à leur façon, à l’histoire de France, entre autres : Raoul De CREQUY, Sire De CREQUY et de FRESSIN, Croisé, qui fut fait prisonnier à LAODICEE (Palestine), en 1147, et y resta 10 ans en captivité. Ses deux frères, Roger et Geoffroi y furent tués. Marié à Mahaut de CRAON. Jehan (ou Jean) VI, Sire De CREQUY, 25ème Chevalier de la Toison d’Or, serviteur du Roi Philippe Le Bon. Et beaucoup plus proche de nous, Gustave DECREQUY, Député de la République, mon grand père. Je suis Chevalier parce que je suis convaincu que la connaissance et la culture triompheront de l’ignorance. L’ignorance qui entraîne la peur. La peur qui génère la méchanceté, la médisance. Je suis Chevalier pour défendre les valeurs qui m’ont été inculquées, par mes parents tout d’abord (je suis fils d’enseignant), puis par l’apprentissage de la vie et enfin par l’appartenance à cette association initiatique et merveilleuse école qu’est notre Ordre. Egalement par la rencontre d’un Evêque qui m’a enseigné et qui m’a donné des sacrements. Je suis Chevalier pour travailler sur moi, un peu plus tous les jours. Et, en me modifiant, peut être arriverai-je à changer mon entourage. Je suis Chevalier pour apporter aux plus démunis, pour écouter les esseulés, bref, pour aider ceux qui sont dans la détresse, ceux qui sont dans le besoin. Car c’est en donnant, en partageant qu’on obtient la vraie richesse. Je suis Chevalier par réaction à tout ce que je vois dans le monde et autour de moi : Aimons-nous, bien au-delà de notre cercle. Je suis Chevalier par égoïsme aussi, je l’avoue ; car j’aime partager ces grands moments d’émotion lors de cérémonies d’armement, d’adoubement que nous vivons ensemble. Par égoïsme toujours parce que j’aime apprendre et m’enrichir au contact des vrais Chevaliers qui travaillent et donnent sans compter. Par égoïsme enfin quand je reçois un sourire ou un remerciement après avoir donné un chèque à une association caritative, aussi petit soit-il je me dis ainsi que je ne suis pas uniquement Chevalier pour « parader ». Je suis Chevalier et j’ai pour devoir de respecter mon engagement envers l’Ordre, envers mes Sœurs et Frères et donc, servir le plus longtemps possible cet idéal qui nous rapproche tous. Weiter ... Willkommen
- Histoire (suite) | Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon
DER ORDEN DES TEMPELS von Dominique BOULANGER de CREQUY Die Geschichte, die ich Ihnen jetzt erzählen werde, dauerte zwei Jahrhunderte und ist absolut außergewöhnlich … Dies ist also die Geschichte des Templerordens, wie ich sie entdeckte und verstand. Wir könnten es fast mit dem Titel „Eine Familiengeschichte!“ betiteln. » Wir schreiben das Jahr 1096 n. Chr. … Der erste Kreuzzug (und wir sprechen hier noch nicht vom Templerorden) war eine Reaktion auf die Seldschuken. Sie dauerte bis 1099, um Jerusalem von den Türken zurückzuerobern, die seit 1078 alle Besatzer, die Fatimiden (Schiiten), massakriert hatten und christlichen Pilgern freien Zugang nach Jerusalem gewährten. Die Türken wollten alle Spuren des Christentums zerstören. Es war Papst Urban II., der diesen ersten Kreuzzug beschloss und den Rittern, die den Christen des Ostens zu Hilfe kommen würden, im Austausch für ihre Teilnahme am Kreuzzug Vergebung ihrer Sünden versprach. Es erübrigt sich zu erwähnen, dass alle ehemaligen Sträflinge einen Kreuzzug gestartet sind. Zu den großen Namen (und natürlich nicht unbedingt verurteilten Straftätern) dieses Kreuzzugs zählen unter anderem Peter der Einsiedler, der Graf von Toulouse, Gottfried von Bouillon und sein Bruder Balduin von Boulogne. Gottfried von Bouillon – Sohn von Ide von Boulogne, selbst Nichte des Papstes – wird sich erneut als bester Truppenführer auszeichnen; „Ein Tapferer und ein Heiliger“, werden sie von ihm sagen. (Viel früher, um 910, heiratete ein Vorfahre von Gottfried von Bouillon einen gewissen Mahaut de Créquy.) Mehr lesen Zurück zur Startseite