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- Templier | Osmcs
osmcs : ordre suprême et militaire des chevaliers de Salomon : rdre de chevalerie templière initiatique et humanitaire © Copyright OSMCS WILLKOMMEN! Oberster Militärorden der Ritter Salomons EIN ÜBERBLICK ÜBER DAS OSMCS Unsere Wurzeln Der Templerorden (Arme Ritter Christi und des Tempels Salomons) war ein religiöser Orden, der 1118 von Hugues de Payns (oder Hugues dit le païen – Hugo de Paganus) gegründet wurde. Ihr Untergang kam im Jahr 1307, als König Philipp der Schöne sie verhaften ließ. Zwei Jahrhunderte reicher Geschichte, so reich an Geheimnissen, die wir beim OSMCS wiederzuentdecken versuchen … Ein wenig Geschichte ... WAS WIR TUN Bei der OSMCS bilden wir moderne Templer aus, das heißt, wir arbeiten für eine starke, wahre Bruderschaft; Wir streben danach, moralische Werte wiederzuentdecken, die in der Gesellschaft des 21. Jahrhunderts so sehr fehlen, und hoffen vor allem auf die Religion der Liebe. Unsere weiteren Ziele sind historische Forschung, Wahrheitssuche und humanitäre Hilfe. Ich möchte mehr wissen... WERDEN SIE EIN RITTER DER OSMCS Oder Dame der Ritterlichkeit, weil unser Orden gemischt ist Entdecken Sie die verschiedenen Phasen und die Entwicklung der Wissensvermittlung Werde ein Ritter UNSERE HUMANITÄREN ARBEITEN Informieren Sie sich über unsere Aktivitäten seit 2010. Wir erhalten keine Subventionen und verfügen nur über unsere Beiträge, Ihre Spenden (steuerlich absetzbar) und den Erlös aus dem Verkauf einiger Artikel http://www.osmcs.org . Unsere humanitäre Arbeit Die OSMCS wurde 2010 gegründet und ist in 22 Ländern vertreten. Ihr Ziel ist es, eine echte Schule des Wissens und der Wissensvermittlung zu sein … „Der Lehrer öffnet die Tür, aber es ist der Schüler, der hindurchgehen muss.“ KONTAKTIEREN SIE DIE OSMCS BP7 34600 HEREPIAN secretariat@osmcs.fr osmcsfrance@gmail.com 06 77 24 89 34 oder 06 48 54 75 61 BESTELLEN SHOP Gönnen Sie sich etwas und unterstützen Sie gleichzeitig unsere humanitären Zwecke Geschäft
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Abschließend zum Templerorden: Sur le Sigilum, le sceau des Templiers (2 chevaliers sur un même cheval) : que veut-il dire ? J’ai aujourd’hui l’intime conviction, comme certains historiens, qu’il s’agit de la reproduction des 2 frères de St Omer revenant d’Orient. D’abord parce que tous les sceaux des chevaliers les représentent allant de gauche à droite et épée à la main, alors que celui du Temple est inversé, donc revenant d’Orient, sans épée, donc sans intention de combat, mais avec une lance Ensuite, un autre sigilum de la même époque faisait apparaître le Dôme du Rocher, donc là encore signifiant qu’ils rentraient d’Orient. Le symbole de la lance : Dans toutes les civilisations, toutes les croyances ou légendes, la lance a toujours signifié l’axe du Monde. Elle a toujours eu sa pointe ensanglantée, car le sang a toujours représenté l’âme. Pour ce qui nous intéresse, il est normal que nos 2 chevaliers soient représentés rapportant la lance, celle de Longinus qui transperça Jésus ; elle symbolise l’axe de la vraie religion, celle des origines, avec le Sang Royal ; c’est le véritable Saint Graal ! Quoi de plus normal que de la ramener afin de modifier le centre de la religion, tout en suivant les directives de Godefroy de Bouillon avec le sang royal ! Sur la quête de l’Ordre : On peut continuer à imaginer que l’Ordre fut créé pour aider et protéger les pèlerins ; on peut aussi continuer de croire que tous étaient de bons soldats allant en terre sainte combattre les Sarazins. Ce fut le cas des croisés, certes ! Pas le but des chevaliers Templiers, ceux là même qui ont été hébergés par le Roi de Jérusalem, dans l’ancien Temple de Salomon, durant plus de 9 ans. Nos Templiers sont allés chercher des preuves du Christianisme primitif afin des les protéger, surement, mais certainement pour créer en Europe, au Portugal, le nouveau centre de La Religion, celle des origines et non pas celle de Rome qui, d’après eux, propageait un message erroné En France s’était développé un courant de chrétiens qui croyaient en une version de l’histoire du Christ différente de celle véhiculée officiellement par l’Eglise romaine. Selon eux, Jésus n’était pas célibataire, mais marié avec Marie-Madeleine. Le couple avait des enfants qui, après la mort du Christ, se réfugièrent dans le sud de la France où leurs descendants vivraient toujours. D’après eux, l’Église aurait délibérément minimisé l’importance de Marie-Madeleine dans la vie de Jésus, et mal traduit les Évangiles faisant d’elle une prostituée. L’Église aurait ainsi voulu s’assurer que son chef spirituel, c’est-à-dire le pape, soit toujours élu par un groupe descendant des disciples du Christ et non par sa descendance biologique. Les partisans de cette version auraient cherché en Terre Sainte une preuve de leur théorie, qu’ils auraient découverte et rapportée. Le Temple de Salomon, avant d’être converti en mosquée, avait été le temple d’Hérode, détruit par les Romains en 70 (par Titus) ; Il existait donc avant, pendant et après la vie du Christ. Lors de leurs fouilles, tâche de grande ampleur, les Templiers auraient découvert des « manuscrits de la connaissance » traitant de la vie du Christ et antérieurs aux Évangiles. Pour une raison demeurée inconnue, cette connaissance leur procura un certain pouvoir sur l’Église romaine. Peut être ont-ils aussi découvert et rapporté l’Arche d’Alliance ; pour ma part, je laisserai cela à tous les chercheurs de trésors, car rien, pas la moindre preuve ou commencement de preuve ne va dans ce sens… Quoi que ... Ils ont, par contre ramené aussi des reliques, d’abord pour christianiser la France et ensuite l’Europe, qui n’en était qu’au balbutiement du Christianisme. Ainsi, Godefroy de Bouillon rapporta le Saint Sang, avec d’autres, qui en Alsace, qui en Belgique. Certains rapportèrent un morceau de la sainte Croix, ainsi une pièce fut envoyée à Bernard de Clairvaux par son Oncle André de Montbard. Mais peut être rapportèrent-ils la pièce la plus importante : La Relique de la tombe du Christ Elle aurait été ramenée entre 1146 et 1149, certainement par Robert de Craon, le château de Tomar n’étant pas encore construit, il est fort possible que cette relique ait été déposée en Anjou ou dans le nord de la France. Ensuite, que serait-elle devenue ? Un historien, Daniel Minard, le seul à ma connaissance, fait le lien entre plusieurs Maitres de l’Ordre, Robert de Craon, Robert de Sablé, Philippe du Plessis, par exemple, avec l’Anjou et remonte à Robert le Bourguignon, comme lien important entre ces personnages. Malheureusement, il ne va pas plus loin : en effet, le véritable lien serait cette famille d’Artois, les de Créquy, ces Nobles que tout le monde voulait en mariage. Famille issue des Forestiers de Flandres, on dit d’elle qu’elle serait issue des Mérovingiens par Clotaire II. A l’époque il se disait l’expression suivante : « Noble comme Créquy », le terme noble voulant dire, avant l’an 1000, qui est au-dessus du commun , de descendance « Royale », dans le sens descendance Divine… C’est ce lien qui me donne aujourd’hui l’explication d’un fait bien étrange : Un certain Archambault IV de COMBORN qui fit construire le château de BLANCHEFORT en 1125, à quelques kms de la commune d’Uzerche et devint Châtelain de Blanchefort. Plus tard, au XVIe siècle, un de ses descendant, Antoine de BLANCHEFORT est institué héritier de tous les biens de la famille de CREQUY, par le Cardinal de Créquy son oncle maternel, à condition de porter le nom et les armes de la famille. La branche CREQUY-BLANCHEFORT vient d’être créée et détiendra par une alliance avec Chrétienne d'Aguerre, veuve et héritière de François Louis d’Agout, la seigneurie du PAYS de SAULT en 1609. Longtemps, j’ai cherché pourquoi offrir ses titres de noblesse et le nom d’une aussi grande famille à plus de 700 kms de l’Artois (nord de la France). Ce ne pouvait être que pour protéger quelque chose, un secret. On retrouve, plus tard, un autre descendant, Charles de Blanchefort de Créquy, mécène du peintre Nicolas Poussin, allant jusqu’à faire construire son mausolée en Italie avec la référence du Tombeau d’Arcadie, et un autre Blanchefort de Créquy, plus tard, à l’origine du secret de Rennes le Château, avec une inscription codée sur la dalle funéraire de son épouse, la dame Blanchefort d’Hautpoul… Mais souvenons-nous : Rennes le Château est situé dans la région qui a pris pour nom « le razès », nom venant d’un illustre philosophe arabe (Razi) qui a écrit « le livre des secrets ». Le « razès » est situé en Terre d’Aragon, pays qui n’a rien à voir à l’époque avec le Roi de France, pays dont l’Ordre du Saint Sauveur de Montréal a été rattaché à l’Ordre du Temple. Pays dont les Blanchefort de Créquy sont devenus des châtelains puissants. Razès, nom rajouté au sien par Eustache de Boulogne qui devint donc Eustache Razès, celui-ci étant généalogiquement relié à Sigebert IV, petit fils de Dagobert, dernier roi mérovingien, et habitant Rennes le Château… La relique du Tombeau du Christ aurait-elle été cachée dans cette région ? En attente de transport pour Tomar au Portugal ? Enfin, pour terminer cette extraordinaire histoire, après 1314, les templiers, ceux qui n’avaient pas été arrêté, ont quitté la France ; ils sont partis, qui en Allemagne se fondant chez les chevaliers teutoniques, qui en Espagne tentant de rejoindre l’Ordre de Montesa ou l’Ordre de Calatrava, qui au Portugal pour l’Ordre du Christ, qui en Ecosse. Ceux d’Ecosse, on le sait aujourd’hui, ont recréé un mouvement de pensée qui, au fils des siècles, est devenu la Grande Loge Unie d’Angleterre, puis a essaimé en France, en Europe, puis dans le monde. Nous sommes loin de l’idéal Templier du début ! Et pourtant, on trouve dans les hauts grades maçonniques des titres de Chevaliers Kadosch, Chevaliers de Saint Jean ou encore Chevalier Bienfaisant de la Cité sainte. Dans un très vieux rite français, on trouve même, à la place de la légende d’Hiram, l’histoire de Jacques de Molay ! Quand à Hiram, c’est aussi l’anagramme exacte de Marih, patronne des Templiers ! Certains Franc Maçons sont même allé jusqu’à prendre des églises comme lieux de réunions ; ils les appelaient « Temple de la raison ». Ces édifices, souvent des églises donc, étaient destiné à accueillir le nouveau culte instauré en 1793 suite à la Révolution française. Vouée à remplacer le christianisme, cette religion s’inspirait des thèses de la franc-maçonnerie et consacrait les idéaux révolutionnaires. Dans les campagnes, le temple de la raison pouvait aussi être utilisé comme un lieu de proclamation des grands textes révolutionnaires. Certains Francs Maçons de l’époque, souhaitant rester dans l’ancienne tradition, se réunissaient aussi dans les lieux de culte, repérables ceux-là par des ornements différents. Pour ce qui est de l’Ordre du Temple aujourd’hui, il n’existe plus de lignée directe, pas même celle d’un certain Larmenius à qui Jacques de Molay « aurait » transmis la Maitrise avant de mourir. Une charte figure aux archives nationales étayant cette théorie ; Cette charte s’avère être un faux commandé par Napoléon pour faire d’une loge maçonnique un lieu de recherche sur l’Ordre du Temple. Il reste donc aujourd’hui une foultitude de pseudos ordres néo templiers, dont les buts sont bien loin de la devise initiale de l’Ordre : Non pour nous seigneur, mais tout à Ta gloire Bien loin de la quête des 9 fondateurs de l’Ordre du Temple Quelques uns sont sérieux, la plupart sectaires ou réunissant quelques fous furieux en mal de reconnaissance. Tous ont oublié l’Ordre d’Amus (ou d’Ormus), fondé en France, au 9ème siècle ou 10ème siècle, Ordre qui a initié les Godefroy de Bouillon, Geoffroy de Saint Omer et les autres, qui sont ensuite allé en Orient continuer cette initiation avec, peut être les Frères d’Orient, les Fils de la vallée ou peut être encore le Prieuré de Sion. Et puis il y a l’Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon. Ordre International que j’ai l’honneur de conduire parce que je suis, par ma mère, un « de Créquy », parce que je suis un « cherchant », un passionné de l’histoire de l’Ordre du Temple, un passionné de la Religion, celle du Religare, qui doit donc nous relier. Et tout ça, ça donne la petite pièce du puzzle que les historiens ne pouvaient pas connaître. Zurück zur Startseite
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Durant ces 90 ans, on peut mettre au compte des Templiers, plusieurs choses de grande importance : La grande idée d’une Europe unie Une société bâtie autour d’une autre idée : le communautarisme à l’extrême ; donner au peuple un toit, à manger, une protection contre un travail commun pour une seule cause, et le tout sans impôt. La création des lettres de change, du crédit, du change des monnaies, du dépôt d’objets précieux, bref, les débuts de la banque. Les débuts de l’assurance (notamment pour les voyages, transports) Une innovation en matière d’irrigation pour l’agriculture De nouvelles techniques de construction L’encodage des écrits Mais aussi, des apport de connaissance en astronomie, en médecine, en mathématiques… Ils excellèrent dans les constructions dites templières et aussi dans les fameuses cathédrales gothiques dont chaque chantier, faut-il encore le rappeler, a été financé, alors que la France manquait d’argent, par l’Ordre du Temple. Il faut le dire avec vigueur : sans l’Ordre du Temple, la France n’aurait pas ces extraordinaires vaisseaux de pierres et de lumière que sont les cathédrales gothiques, elle n’aurait pas aujourd’hui sous les yeux, tel un livre ouvert, le plus parfait exposé de l’ésotérisme chrétien… En moins d’un siècle, c’est bel et bien une révolution culturelle et spirituelle que les Templiers opèrent ! La cathédrale, dans cette éthique, était construite pour être un édifice laïc, au sens originel du terme, car construit pour l’Âme du peuple et non pour la gloire des seigneurs. Pour rappel, à l’époque, les gens du peuple allaient s’y promener et même y mangeaient par terre. A partir de ce moment, l’Ordre qui devient de plus en plus riche et puissant militairement, commence à refuser l’autorité des princes de Terre Sainte, et même l’autorité du Pape et de ses légats. 1200 Philippe du Plaissiez, ou du Plaissis devient 13ème Maître du Temple. Il est originaire d’Anjou. 1210 Guillaume de Chartres, 14ème Maître du Temple. De son origine on ne sait pas grand-chose, ce qui poussera les historiens à chercher du coté de Chartres, mais rien de moins sur. 1218 Pierre de Montaigu, 15ème Maître du Temple. A part un document qu’il signa en tant que Précepteur de Provence, on dit de lui qu’il serait d’origine espagnole, et Maitre de la Province d’Aragon avant de devenir Maitre du Temple. 1232 Armand de Périgord, 16ème Maître du Temple. 1244 Guillaume de Sonnac. 17ème Maître du Temple. Ou plutot Wilhelm de Sonay (en latin Saunayo) Il semblerait qu'il soit issu d'une famille du Bas-Poitou installée au château de Sonnay en Touraine et qui aurait été anoblie par Foulques V d'Anjou 1250 Renaud de Vichier, 18ème Maître du Temple. Ancien Précepteur de France, puis Maréchal de l’Ordre, d'origine champenoise. 1256 Thomas Béraud, 19ème Maitre du Temple, pratiquement inconnu des historiens. 1273 Guillaume de Beaujeu, 20ème Maître du Temple. Originaire de Bourgogne et apparenté à Charles Ier d'Anjou 1291 Thibaud Gaudin, 21ème Maître du Temple. Origine inconnue 1292 Retour en France des Templiers survivants après une débâcle monumentale à St Jean d’Acre. Jacques de Molay, 22ème ou 23ème (selon le comptage) Maitre du Temple. Très peu de renseignements sur ses origines, il serait de Franche Comté. 1296 Jacques de Molay prend parti pour Boniface VIII dans le conflit qui l'oppose à Philippe le Bel. 1302 Boniface VIII meurt après avoir été frappé au visage par Sciarra Colonna , homme de Guillaume de Nogaret , avec un gantelet de fer 1304 Election et mort de Benoit XI, empoisonné. 1305 Les Templiers sont dénoncés au roi d'Aragon et à Philippe le Bel. Election de Clément V. 1307 Ouverture d'une enquête sur les Templiers par Clément V. sur la demande de Jacques de Molay. Le vendredi 13 octobre, à l'aube, les Templiers de France sont arrêtés par les hommes de Guillaume de Nogaret. Le 17 novembre, Bulle de Clément V ordonnant l'arrestation de tous les Templiers du monde ; certains pays refusèrent de suivre cette bulle (notamment Ecosse, Portugal et en terre d’Aragon aussi). 1312 Bulle de Clément V disant que l’Ordre du temple est dissout, mais pas d’excommunication de ses membres. Cette bulle ne sera réellement connue qu’en 1980 1313 (décembre) Procès de Jacques de Molay. 1314 18 mars : Le même jour, jugement, rétractation de Jacques de Molay et de Geoffroy de Charnay. Ils sont brûlés le soir même à la pointe de l'lie aux Juifs à Paris. 1317 (10 juin) Fondation de l'ordre de Montesa en Aragon. 1319 (19 mars) Fondation de l'Ordre du Christ du Portugal. Ces deux derniers Ordres sont les seuls à prétendre être les successeurs de l'Ordre du Temple. Ils sont aujourd’hui devenus des ordres honorifiques. Voila 2 siècles résumés de ce qui fut un des plus beaux moments de l’histoire de France pour ce qui est de l’idéal, des connaissances, des constructions, des inventions, du moins sur un plan sociétal ; mais également de ce qui fut un gâchis total pour des considérations politico financières. Fortsetzung und Ende Zurück zur Startseite
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A ce niveau de l’exposé, une question se pose : comment ces deux personnages se sont-ils connus ? Est-ce lors de la première croisade ? Et qu’ont-ils fait entre 1099 et 1118 ? Ils seraient revenus en France, puis repartis en terre sainte, mais pourquoi 18 ans plus tard ? Ne serait-ce pas plutôt deux membres d’une même famille que ces deux-là ? Il se trouve que Geoffroy de Saint Omer a un frère (entre autres) que l’on nommait Hugues « dit le Païen ». Dans la famille des Saint Omer, on trouve aussi un neveu de Geoffroy qui s’appelle encore Hugues « dit le Païen », fils de Gilbert de Saint Omer. Ils font tous partie de la grande famille des Châtelains de Saint Omer, dont leur père Beaudouin épousa Mahaut De Créquy, d’une grande famille de nobles de Flandres et d’Artois. Quelques historiens, n’arrivant pas à cacher l’existence de ce frère Hugues « dit le Païen », concluent qu’il est fait seigneur de Tibériade puis meurt en Palestine très tôt. Ceci arrangerait tout le monde, surtout les champenois, mais malheureusement, d’après certains chroniqueurs de l’époque, c’est Hugues de Fauquembergues, probablement aussi de la famille des Saint Omer, qui est fait Prince de Tibériade et qui meurt en Palestine. Il est toutefois possible qu’un certain Hugues de Payns, vassal du Comte de Champagne, ait fait partie de la première croisade, encore qu’aucun écrit ne relate de faits d’armes de ce personnage. Déjà une question : pourquoi un vassal de Châtelain deviendrait Maitre de l’Ordre, alors que d’autres châtelains sont présents à l’initiation du projet. Possible également qu’il ait connu Geoffroy de Saint Omer a ce moment là et que rentrant en France, il rencontra Bernard de Clairvaux, ami du Comte de Champagne ; que celui-ci lui demanda de créer une milice et qu’il eut la présence d’esprit de prendre avec lui Geoffroy de Saint Omer, pour sa bravoure au combat. Il eut pu prendre également son Frère Hugues « dit le Païen », meilleur combattant, mais je rappelle que l’histoire le donne pour mort, qui en 1102 en Palestine, qui en 1106 en Turquie. Faisons un aparté : les seuls textes que nous possédons de l’époque sont ceux de Guillaume de Tyr, chroniqueur. Guillaume de Tyr naquit en 1130, il fut le précepteur de Beaudouin IV, roi de Jérusalem, puis archevêque de Tyr vers 1175. Il mourut en 1184. Naissant en 1130, il ne peut se mettre à l’écriture vraisemblablement que vers 1155-1160, soit presque 40 ans après les faits de la création de l’Ordre. Il écrivit une « Historia de la terre sainte » mais cet ouvrage ne fut pas retrouvé. Son autre ouvrage, Historia rerum in partibus transmarinis gestarum, fut transmise, mais inachevée. Un autre historien, Jacques de Vitry, 1160-1240, évêque de Saint Jean d’Acre, écrivit beaucoup sur les saints de l’église catholique (notamment un acta sanctorium) mais peu sur les croisades, à part quelques lettres. Voila tout ce que nous avons sur cette époque. Il faudra donc faire avec ce que nous trouverons, c'est-à-dire pour la plupart des documents soit d’état civil, soit actes notariés ou choses similaires, soit lettres échangées entre les ecclésiastiques, les rois et la Milice du Temple. Si je reviens sur Hugues de Payns (de champagne) on trouve des actes le mentionnant, notamment son mariage, à une période où il devrait être en Terre Sainte. De plus, n’oublions pas qu’après 1314, les communes ont détruit la totalité des documents ayant rapport de près ou de loin à l’Ordre du Temple, mais nous y reviendrons. Nous trouvons, par contre un acte de donation d’une église à Cassel (nord) en présence de Hugues, Maitre du Temple, et Geoffroy de St Omer. Mais rien de ce personnage de Champagne ! folgende Zurück zur Startseite
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werde ein Ritter (oder eine ritterliche Dame) … Bevor man zum Ritter geschlagen wird oder den Titel einer Ritterdame erhält, muss man dem Orden als Novize beitreten (gekleidet in eine schwarze Kasel mit einem Brustkreuz). Nach einiger Zeit werden Sie ein Knappe des Ordens (gekleidet in eine weiße Chlamys mit einem Brustkreuz). Sie bereiten mit Hilfe Ihres Paten oder Ihrer Patin Ihr Wappen, Ihr Motto und Ihren Namen als zukünftiger Ritter vor und werden dann nach altem Ritus bewaffnet und zum Ritter (oder zur Ritterdame) geschlagen. Sobald Sie zum Ritter geschlagen wurden, haben Sie Zugang zu den Hohen Magisterien, um Ihre Ausbildung zu perfektionieren. 5 Grade bilden diese hohen Grade, die Sie schließlich zu weiteren Entdeckungen führen werden ... René-Pierre AMSELLE DU, der diesen Tempel betreten wird, Welches Geheimnis hoffen Sie zu lüften? Wisse, dass von dem, was du sehen wirst, Sie werden nur wenige Symbole verstehen. Sicherlich werden deine Brüder dich führen, Aber machen Sie sich nichts vor, Wie Sie suchen sie nach dem Geheimnis. Das hält Isis unter ihrem Schleier verborgen. Wir sind die würdigen Söhne des HERMES, Die Natur ist unsere Herrin Und das Universum ist unser Königreich. Obwohl elende Gnome Schöner roter Ton geknetet, Wir haben den Atem des Lebens in uns Der aus einem kalten Golem Hat uns zu Menschen gemacht, die glauben Als schändliches Blei in heiliges Gold Jeder Mensch kann sich umwandeln. DU, der diesen Tempel betreten wird, Das wahre Geheimnis liegt nicht dort: Tauche ein in den Sumpf deines Seins, Anschließend können Sie wiedergeboren werden. WERDE EIN RITTER Aktuelle Artikel EIN WAHRGEWORDENER TRAUM: DIE REISE IM HÖCHSTEN MILITÄRORDEN DER RITTER SALOMONS Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon Association type loi 1901 inscrite en préfecture sous le numéro W 831000941 Inscrit auprès de l’inpi (Institut National de la Propriété industrielle) sous la référence 09 3 701 344 Nous sommes un Ordre de Chevalerie, se référant à l’histoire de l’Ordre des Pauvres Chevaliers du Christ d’Hugues de Payns (1er Grand Maître) Quelques repères : - En 1119 naquit cet Ordre sous l’impulsion de Bernard de Clairvaux (qui deviendra Saint Bernard) 9 chevaliers sont parti en Terre Sainte et se sont installés dans le Temple du Roi Salomon Quelle était leur mission ? Qu’ont-ils rapporté de leurs voyages ? Qu’est devenu l’Ordre durant 2 siècles, qu’ont-ils fait ? Voila une des missions que nous nous sommes donné : rechercher, trouver et transmettre - En 1307 tous les Templiers sont arrêtés par le Roi Philippe Le Bel - Le 18 mars 1314 : Jacques de Molay (23ème et dernier Grand Maître) est brûlé sur l’île aux Juifs à Paris malgré l’absolution du Pape Clément V par le parchemin de Chinon (17 août 1308). A cette date, l’Ordre est dissout mais certains partent de France pour aller soit en Allemagne, en Ecosse ou au Portugal, Espagne... Que faisons nous ? L’Ordre se veut être une école pour former des Chevaliers du 21ème siècle En plus de l’histoire, nous transmettons les valeurs indispensables à savoir tolérance, fraternité et respect. Notre but : l’aide humanitaire de proximité (voir la rubrique : nos oeuvres humanitaires), l'aide aux démunis Par exemple : aide pour centres d’adultes handicapés participations diverses (achat d’un fauteuil roulant spécialisé…) dons aux œuvres sociales des villes qui nous reçoivent (CCAS, épicerie solidaire…) aide dans les maisons de retraite, résidences sénior... bénévolat divers, aide aux démunis aide à l'International Le fonctionnement : Rassemblés en Commanderies, nous nous réunissons une fois par mois en « chapitre ». Les Commanderies (toutes déclarées en préfecture) sont sous la direction d’un Baillage régional. L'Ordre est dirigé par un Conseil International avec le Grand Prieur de l'Ordre S.E. Dominique BOULANGER de CREQUY Dans chaque pays, l’Ordre est dirigé par un collège d’Officiers Nationaux comprenant le Grand Prieur et ses Vice Grands Prieurs, un Maréchal, un Sénéchal, un Chancelier de Justice, un Grand Argentier, Un Grand Secrétaire, un Chancelier Hospitalier. Chaque Commanderie est dirigée par un Commandeur, un collège d’officiers et reçoit des Novices, des Ecuyers et des Chevaliers. En règle générale, les chapitres (réunions mensuelles) sont ouverts au public. En principe, les armements et adoubements de Chevaliers sont pratiqués selon les anciens usages et rituels dans des lieux sacrés (chapelles, églises…) Kontakt Zulassung zum Rang eines Esquire Lettre ouverte d'un Frère Admis au grade d’Ecuyer. En préambule, il me semble utile de faire une petite rétrospective depuis mon arrivée au sein de la Commanderie des Chevaliers d’Argens Préalablement, en qualité d’invité j’ai assisté à plusieurs chapitres pendant quelques mois. Très attentif aux objectifs de l’ordre, au cérémonial, aux divers travaux évoqués, et à la fraternité régnant au sein de la commanderie, j’en ai été attiré et j’ai ressenti le même état d’esprit. L’année dernière j’ai posé ma candidature en qualité de novice, vous m’avez fait l’honneur de l’accepter et m’avez reçu dans l’ordre en septembre. Au début de ma période de noviciat nous étions très nombreux et j’ai été très bien accueilli par l’ensemble de notre commanderie j’en étais très heureux car nous partagions la même idéologie, l’amitié était réciproque. Quelques mois plus tard, en décembre, en la Chapelle St. Pierre, cinq écuyers étaient adoubés et élevés au rang de Chevalier. Ce fut une extraordinaire cérémonie, très émouvante, et j’en garde un excellent souvenir. Depuis, une année est passée, dans ma condition de novice, et j’ai essayé d’être fidèle à mon engagement dans l’Ordre. En respectant dans la mesure de mes possibilités les objectifs de notre Ordre, en assistant et en participant aux chapitres de notre commanderie et celles rattachées à l’O S M C S , en étudiant l’histoire et l’éthique Templière, ses obligations, ses traditions, en effectuant les travaux qui m’ont été demandés, mais surtout, cela nécessite d’opérer des changements, dans sa vie, et dans son comportement, et ce,…..dans plusieurs domaines. Bien souvent, entreprendre des changements s’avère assez ardu, ce n’est pas sans rencontrer quelques obstacles. Parfois la volonté ne suffit pas, et la plupart du temps, il faut continuellement se surpasser afin d’y arriver. Un vieux dicton nous stipule : « Chassez le naturel, il revient au galop » En fait, c’est assez réel. Aussi, il est essentiel d’être vigilant, sans abandon, ni découragement, sachant qu’il y a toujours une solution, notamment celle de demander conseil à son parrain ou un frère ou une sœur. Continuez à demander et l’on vous donnera Continuez à cherchez et vous trouverez Continuez à frapper et on vous ouvrira (Matthieu Chapitre 7 verset 7) Ces versets tirés de la Bible nous prouvent bien que nous ne sommes pas seul et qu’il n’est pas inutile de demander conseil, bien au contraire, je pense même que c’est indispensable.J’avoue avec humilité que j’ai toujours eu du mal à demander, et je suis conscient qu’il faut que je remédie à cet état de fait. Cette période de noviciat m’a beaucoup apporté, tant sur des connaissances dans l’Ordre que sur le plan spirituel. Elle m’a permise de me préparer progressivement à franchir une étape importante Etape dans laquelle intérieurement, j’avais espoir d’y parvenir, celle d’être reçu au rang d'Ecuyer. Et ce jour est arrivé, non sans crainte, et avec une certaine appréhension, ne sachant pas véritablement si j’étais tout à fait prêt et si j’en étais digne. J’en ai déduit qu’après délibération, les membres du Collège des Chevaliers ont du me juger apte à être reçu Ecuyer. J’en suis très honoré et j’en éprouve un sentiment de reconnaissance. Lors du Chapitre d’octobre, en présence des Dignitaires de l’Ordre et des Frères et Sœurs de la Commanderie, notre Très Noble Commandeur m’a fait appeler afin de m’élever au grade d’Écuyer. J’étais très ému durant tout le cérémonial de passage, notamment lors de mes paroles prononcées devant notre Beaucéant, sur la signification et les symboles des couleurs noires et blanches. Une des couleurs que j’allais maintenant abandonner, le noir, pour revêtir la chasuble blanche. Qu’elle profonde émotion, j’étais sincèrement très heureux.Ce fut un grand honneur pour moi et une grande joie d’être revêtu de la chasuble blanche. Des paroles éloquentes ont été commentées à mon égard par les dignitaires et par les Frères et Sœurs. j’en été attendri et gêné en même temps, ces compliments étaient élogieux , réconfortants, et encourageants je n’en mérite pas tant.Je ne saurai jamais assez les en remercier. Il est évident que pour moi ce franchissement est une grande satisfaction,c’est en quelque sorte une belle récompense, j’y suis très sensible, mais ce n’est qu’une étape. Il va falloir assurer une continuité en s’investissant plus intensément concernant certains points sur lesquels je me pose des questions : Que dois-je maintenant approfondir plus particulièrement ? Quelles tâches ou missions suis-je susceptible de remplir au sein de notre commanderie ? Et suis-je assez disponible pour les accomplir ? Suis-je assez compétent et en aurai-je la possibilité ? Mais ce dont je suis sûr, c’est qu’il faut envisager dans l’avenir une accession à la chevalerie, et pour ce faire, je suis conscient qu’il y a du travail en perspective, et que le chemin est encore long. Pour le moment je suis écuyer, ….à propos !! Qu’est-ce qu’un écuyer ? Remontons un peu dans l’histoire : Il ne fait aucun doute qu’il nous faille remonter aux temps les plus anciens de la Chevalerie pour retrouver l’origine du nom écuyer. Plusieurs sens en ont été déduits. Jadis, l’écuyer prenait soin des chevaux appartenant aux chevaliers. A l’époque féodale, l’écuyer, jeune noble, effectuait son apprentissage auprès d’un Chevalier il l’accompagnait , lui servait de second et avait la garde de son écu blasonné, de sa devise , et de ses symboles . Et l’écuyer ne pouvait accéder à la chevalerie qu’en ayant fait ses preuves. Actuellement, constatons que le même état d’esprit perdure, et qu’il y a de grandes similitudes chez les Chevaliers de nos jours. L’écuyer apprend auprès des Chevaliers. L’écuyer se met au service des membres de la Commanderie. Un Chevalier parraine l’écuyer au long de son parcours et lui inculque l’enseignement nécessaire L’écuyer ne peut espérer être adoubé Chevalier que lorsqu’il sera prêt moralement et spirituellement. Et c’est ce que je dois préparer assidûment maintenant Lors de mon noviciat, si j’ai acquis quelques connaissances grâce à l’ensemble des Sœurs et frères, j’ai également rencontré de petites « embûches » peut-être prévisibles mais, il m’est essentiel à ce jour, d’essayer d’y remédier et de prendre conscience de mes buts recherchés, non seulement au sein de notre Ordre, mais également dans la vie courante. Un Chevalier n’est pas Chevalier uniquement lorsque nous sommes réunis il doit l’être dans l’âme, dans son « moi intérieur » et en appliquer ses principes quotidiennement. Principes fondamentaux qui sont par exemple : Une intégrité morale et comportementale qui implique une parfaite honnêteté incorruptible, une loyauté vis-à-vis d’autrui et de soi même. Une fidélité : Au respect de nos traditions, à notre amitié, à honorer nos engagements et nos promesses Toutes promesses doivent être tenues, et l’action doit être résolue . Une obéissance volontaire et sans réticence : A notre éthique, à nos missions, à notre assiduité aux chapitres, à nos règles communes , etc.….. Il est de notre devoir d’accepter une obéissance : aux lois divines, aux lois de notre société, et à notre hiérarchie dans l’Ordre. Agir : Mais agir de façon réfléchie et, autant que faire ce peut …. avec sagesse, dignité et humilité afin d’acquérir une attitude humble. J’ai eu un professeur qui nous conseillait de réfléchir sur cette maxime de CONFUCIUS, elle résume bien des interrogations Ce que vous connaissez, vous le connaissez, ce que vous ne connaissez pas, vous ne le connaissez pas.C'est-à-dire la véritable connaissance est de reconnaître ce que nous savons et d’admettre ce que nous ne savons pas , nous ne devons pas être présomptueux mais rester humble. Servir : Servir dépend d’un libre choix et d’une décision toujours renouvelée. Savoir servir avec dévouement et efficacité Servir son prochain En LUC Chapitre 10 v.27 de la Bible Tu aimeras ton prochain comme toi-même En appliquant ce précepte : si j’aime mon prochain !! ….je n’hésite pas à le servir, à lui proposer de l’aider, de l’assister, d’être à l’écoute, de le soutenir quant il est dans le besoin. Savoir.. en toutes occasions, donner, et se rendre utile. Voilà, en qualité de jeune écuyer : En particulier, j’ai retenu ces quelques principes que je viens de vous énumérer. Je souhaite pouvoir toujours les appliquer afin qu'ils m'aident à progresser dans la foi et dans mon parcours pour espérer peut être un jour, si j’en suis digne, revêtir le Manteau Blanc du Chevalier. Je termine par cette citation Biblique en Galates Chapitre 6 v . 2 Aidez vous les uns et les autres à porter vos fardeaux En toute occasion, faisons le bien et prions car c’est une manière d’accomplir la loi du Christ, et méditons sur ce proverbe : Il y a plus de plaisir à donner qu’à recevoir Kontakt Wappen der Familie Crequy Gold für den Gläubiger von Rot ... de CREQUY: mächtige Familie aus Hauts de France, Vorfahren von SE Dominique BOULANGER de CREQUY, eng verbunden mit der Geschichte des Templerordens und in genealogischer Verbindung mit den Gründern des Templerordens Genealogie der "de CREQUY" Zurück zur Startseite
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Der Erste Kreuzzug endete mit der Eroberung Jerusalems im Jahr 1099. Nach diesem ersten Sieg wurde Gottfried von Bouillon der Titel des Königs von Jerusalem angeboten. er wird es ablehnen, den Titel eines Anwalts des Heiligen Grabes anzunehmen. Dies lässt bereits seinen ursprünglichen Zweck erahnen. Er gründete den Orden der Kanoniker vom Heiligen Grab , einen Orden, dessen Aufgabe es war, den Patriarchen von Jerusalem bei seinen verschiedenen Aufgaben zu unterstützen. Eine Anzahl Soldaten aus dem Kreuzzug traten daraufhin in den Dienst des Patriarchen, um das Heilige Grab zu schützen. Diese Einrichtung besteht noch heute. Gottfried von Bouillon kehrte nach Frankreich zurück und schenkte seiner Mutter eine kostbare Reliquie des Christentums: das Heilige Blut. In Boulogne-sur-Mer (Pas de Calais – Frankreich) wurde dieser Reliquie eine Kapelle gewidmet; alles verschwand während der Revolution im Jahr 1789. Es war Gottfried von Bouillons Bruder, Balduin von Boulogne, der zum König von Jerusalem gewählt wurde. Als wenig später dem 1113 anerkannten Johanniterorden die Aufgabe übertragen wurde, sich um die aus dem Westen kommenden Pilger zu kümmern, entstand die Idee, eine Miliz Christi (Militia Christi) zu gründen, die sich ausschließlich mit dem Schutz der Gemeinschaft der Kanoniker des Heiligen Grabes und der Pilger auf den Straßen des Heiligen Landes befassen und dann den örtlichen Räubern zum Opfer fallen sollte. So kümmerten sich die Kanoniker um liturgische Angelegenheiten, der Hospitalorden um karitative Aufgaben und die Miliz Christi um die rein militärische Funktion des Pilgerschutzes. In Frankreich, im Jahr 1098 Wir erleben die Gründung des Ordens von Cîteaux (der Zisterzienser) durch Robert de Molesme. Dieser Orden verdankt später einem gewissen Abt Bernhard von Clairvaux, einem Abt, der später zum Heiligen Bernhard wurde, viel. 1118 Tod von Gottfried von Bouillon. 1119 Krönung Balduins zum König von Jerusalem. Zu dieser Zeit wurde der König von Jerusalem gewählt. 1119 Gründung des Templerordens durch Hugues de Payen (wer stammte aus der Champagne?) und Geoffroi de Saint-Omer. Mehrere Historiker sind sich über das Datum nicht einig. Manche sprechen von 1118, andere von 1119. Eine Kalenderänderung, wonach das Jahr nicht mehr im März, sondern im Januar beginnt, erleichtert das Studium nicht. Dies ist jedoch von geringer Bedeutung, da die eigentliche Schöpfung während eines Konzils in Troyes im Jahr 1129 stattfinden wird. Ich für meinen Teil werde mich an das Jahr 1118 erinnern, das Todesjahr von Gottfried von Bouillon, und daher ist es ziemlich wahrscheinlich, dass mit der Gründung des Ordens unmittelbar nach dem Tod der Person begonnen wurde, die mit Sicherheit sein Anstifter war. Das Wichtigste hierbei ist die Gründung der Armen Ritter Christi (wie sie ursprünglich hießen) durch zwei Personen, nämlich Hugues de Payen (Hugo de Paganus) und Geoffroi (oder Godefroy) de Saint Omer. folgende Zurück zur Startseite
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On notera également que sur les 6 templiers présents, 4 sont du nord de la France. Donc pourquoi pas aussi Hugues ? Le 6ème, un certain Rollandus n’existera plus après ce concile ; On dit de lui qu’il appartient au Marquisat de Provence ; après étude, je n’ai pas trouvé de Rolland dans les arbres généalogiques dudit marquisat. Et des noms bien plus séduisants y figuraient (comte de Saint Gilles, comte de Toulouse…). Je pense que là encore, il y a eu une erreur de transcription. Peut être (même surement) faisait-on allusion à Roral, alias Robert de Craon, lui aussi relié à la famille de Saint Omer comme nous le verrons plus loin. Donc, les premiers fondateurs seraient, d’après nous : HUGUES DE PAYEN, fondateur de l’ordre et premier Grand Maître GEOFFROY DE SAINT OMER ROBERT DE CRAON, qui deviendra 2ème Maître de l’Ordre ANDRE DE MONTBARD, oncle maternel de Saint Bernard et ensuite 5ème Maître de l’Ordre ARCHAMBAUD DE SAINT AMAND HUGUES RIGAUD, Originaire du Languedoc PAYEN DE MONTDIDIER BERNARD ROLLAND ( ?) GEOFFROY DE BOSSOIT Pendant ce temps, en terre d’Aragon (sud de France) se crée L'ordre de Saint-Sauveur de Montréal (que certains confondrons avec l’Ordre de Montesa) par le roi d’Aragon, Alphonse 1er. 1134 Traité de Saint Bernard sur la Milice nouvelle. 1136 (24 mai) Mort d'Hugues de Payen. - Robert de Craon, 2ème Maître du Temple. Qui est donc réellement Robert de Craon ? Il n’est autre que le frère de Mahaut de Craon, qui épousa cette même année 1136 un certain Raoul Radulphe de Créquy, seigneur de Flandres et parent des châtelains de Saint Omer. Ainsi, Robert de Craon, le bourguignon, est très lié au nord et aux familles de Flandres et d’Artois. On peut aisément comprendre qu’il succède à Hugues en tant que Grand Maître, surtout si ce Hugues est celui de Saint Omer. De plus, il est nommé et non élu : ce n’est, en effet, qu’un 1139, que Robert de Craon fait modifier la règle de l’Ordre et notamment y fait ajouter les articles 198 et suivant concernant l’élection du Grand Maître. Quoi de plus normal alors que de nommer pour successeur quelqu’un de très lié aux familles du nord, donc aux familles des fondateurs. Quoi de plus normal enfin que de retrouver Robert de Craon au concile de Troyes inscrit sous le nom de Roral ( ?) au lieu de Rolland, ce que confirment aujourd’hui certains historiens. Roral qui n’est autre que son cri de guerre : Ro pour Robert ; Ral pour « rallie » de rallier, rassembler. 1139 Le Pape Innocent II confirme l'ordre du Temple par sa bulle, Omne datum optimum au 1er concile du Latran. 1143 Baudouin III, devient roi de Jérusalem. Ici, une précision s’impose : Baudouin III est fils de Foulque d’Anjou et de Mélisende. C’est à partir de Baudouin II (neveu de Baudouin Ier de Boulogne) que les successeurs seront désignés parmi la famille royale et non plus élus ; ainsi, à sa mort c’est sa fille Mélisende, mariée à Foulque d’Anjou qui deviendra Reine de Jérusalem (1131). C’est, d’ailleurs, Baudouin II qui accorda aux pauvres Chevaliers du Christ et du Temple le port de la croix patriarcale (croix inverse de la croix de lorraine, rouge), croix du Patriarche de Jérusalem – de cette croix, on n’est pas sur que les deux traverses aient été de dimensions différentes d’ailleurs. Cette croix fut portée jusqu’à ce que le Pape Eugène III leur accorde la croix pattée rouge. Certains hauts dignitaires de l’Ordre continuèrent cependant de porter la croix patriarcale. On retrouve cette croix dans les archives des Bouches du Rhône sur le sceau d’un Précepteur du Poitou. 1147 (13 janvier) Mort de Robert de Craon. - Evrard des Barres devient 3 ème Maître du Temple. Concernant ce Grand Maitre, on ne trouve pas grand-chose : premièrement, on n’est pas sur qu’il ait été Grand Maitre puisque ne figurant pas forcément dans toutes les listes des Maitres du Temple, à commencer par celle de l’obituaire de Reims. Quant à la liste fournie par l’Ordre des Hospitaliers, il est confondu avec Robert de Craon. Deuxièmement, on le trouve tantôt fils de Claude des Barres, tantôt fils de Guillaume des Barres, tantôt seigneur champenois, tantôt originaire d’alsace, et l’on n’est même pas sur de son nom : des Barres, Barrès… folgende Zurück zur Startseite
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DER ORDEN DES TEMPELS von Dominique BOULANGER de CREQUY Die Geschichte, die ich Ihnen jetzt erzählen werde, dauerte zwei Jahrhunderte und ist absolut außergewöhnlich … Dies ist also die Geschichte des Templerordens, wie ich sie entdeckte und verstand. Wir könnten es fast mit dem Titel „Eine Familiengeschichte!“ betiteln. » Wir schreiben das Jahr 1096 n. Chr. … Der erste Kreuzzug (und wir sprechen hier noch nicht vom Templerorden) war eine Reaktion auf die Seldschuken. Sie dauerte bis 1099, um Jerusalem von den Türken zurückzuerobern, die seit 1078 alle Besatzer, die Fatimiden (Schiiten), massakriert hatten und christlichen Pilgern freien Zugang nach Jerusalem gewährten. Die Türken wollten alle Spuren des Christentums zerstören. Es war Papst Urban II., der diesen ersten Kreuzzug beschloss und den Rittern, die den Christen des Ostens zu Hilfe kommen würden, im Austausch für ihre Teilnahme am Kreuzzug Vergebung ihrer Sünden versprach. Es erübrigt sich zu erwähnen, dass alle ehemaligen Sträflinge einen Kreuzzug gestartet sind. Zu den großen Namen (und natürlich nicht unbedingt verurteilten Straftätern) dieses Kreuzzugs zählen unter anderem Peter der Einsiedler, der Graf von Toulouse, Gottfried von Bouillon und sein Bruder Balduin von Boulogne. Gottfried von Bouillon – Sohn von Ide von Boulogne, selbst Nichte des Papstes – wird sich erneut als bester Truppenführer auszeichnen; „Ein Tapferer und ein Heiliger“, werden sie von ihm sagen. (Viel früher, um 910, heiratete ein Vorfahre von Gottfried von Bouillon einen gewissen Mahaut de Créquy.) Mehr lesen Zurück zur Startseite
- Devenir Chevalier De L'o.s.m.c.s. | Osmcs
devenir chevalier : osez ! l'osmcs est un ordre de chevalerie templière à but initiatique et humanitaire WERDEN SIE EIN RITTER DER OSMCS Sich trauen... Oder Dame der Ritterlichkeit, weil unser Orden gemischt ist Entdecken Sie die verschiedenen Phasen und die Entwicklung der Wissensvermittlung Kontakt WARUM BIN ICH EIN RITTER? Von Dominique BOULANGER de CREQUY - Großprior der OSMCS Poussé par un ami, beaucoup par curiosité, je me suis retrouvé avec d’autres, un certain soir, dans un local décoré de tentures, de croix, de cierges, tapis et autres objets, face à des personnes habillées d’un manteau blanc à croix rouge sur le côté gauche et portant l’épée. Un léger parfum d’encens, une musique sacrée, un cérémonial parfait, des paroles fortes mais rassurantes quant à la suite des évènements, m’ont conduit devant le Maître des lieux, le Commandeur. A chaque question j’acquiesçais, comme baigné et gagné par l’atmosphère sacrée. Puis vint l’apposition de la lame de son épée sur ma tête. Ce soir là, je suis devenu Novice du Temple. Ce n’est qu’après quelques « chapitres », nom donné à nos réunions mensuelles, que j’ai véritablement pris conscience de mon nouveau rôle dans la société : plus le temps passait, plus je côtoyais mes sœurs et mes frères, et plus je redécouvrais, ou même apprenais, les valeurs morales et spirituelles indispensables à toute société et, plus que jamais, valeurs parfaitement adaptées à la société moderne. Ces valeurs, j’en ai trouvé 12 Le courage D’être, de vivre dans l’action, d’aller dans le bon sens quoi qu’on dise, quoi qu’il arrive. Le courage parfois d’admettre que je me suis trompé et reconnaître aussi que j’en sais moins que l’autre. L’honnêteté L’honnêteté de se connaître, de se respecter pour ainsi respecter les autres. L’honnêteté de reconnaître ses défauts, et si on ne les voit pas, de regarder dans le miroir qu’on nous met sans cesse en face de nous ! La tolérance La tolérance et donc l’implication honnête et courageuse dans toutes nos relations sociales. La justice La justice ou la recherche de l’équilibre. En géométrie, pour tracer une médiatrice, on a besoin de connaître les deux extrémités ; mieux, on doit s’appuyer sur ces deux extrêmes ; On a aussi besoin de s’élever pour trouver ce point haut qui, à l’aide de l’équerre nous donnera le milieu. Ainsi, sur le segment allant de la haine à la passion, le milieu s’appelle amour fraternel. L’obéissance et le respect Nous devons comprendre dans ce mot le respect de la hiérarchie car celui qui est au dessus de moi en sait forcément d’avantage ; mais j’ai appris que je n’obtiendrai le respect que si je suis moi-même respectable. La tempérance La modération, la mesure en tout : parole, gestes, comportements La persévérance Elle est indispensable pour aller du passé vers l’avenir ; elle est obligatoire pour gravir les marches de l’apprentissage, car je ne l’oublie pas : je suis toujours un novice, même avec mon épée et le manteau de Chevalier. La persévérance doit être de mise pour appliquer la tolérance, l’obéissance, la justice, l’honnêteté, le courage, et les autres valeurs. L’humilité Je me reconnais à ma place car je ne sais rien (ou si peu) et surtout je ne juge pas. La simplicité Vivre en accord avec soi, être en phase avec son cœur. Ainsi toute complication émotionnelle, tout problème de communication disparaîtront.Etre soi c’est « ne pas risquer d’être un autre » ; être soi pleinement donc, mais l’être en Chevalier La confiance La confiance en l’autre tout d’abord : dans notre Ordre, nos Sœurs et nos Frères ne peuvent pas nous décevoir. La confiance en soi ensuite : Je pense à cette phrase du livre sacré : je suis celui qui est ; peut être que cela voulait dire « je suis celui qui devient ».Alors pourquoi n’aurais-je pas confiance en moi si j’applique quotidiennement ce que j’apprends ? Je deviendrai sûrement un jour quelqu’un de bien ! En allant plus loin, la confiance sera aussi la foi, l’abandon à une volonté supérieure, et en restant dans le sacré, religieux, nous ne risquons rien. La compassion C’est l’aboutissement (presque) de nos efforts ; c’est se positionner enfin en tant « qu’être humain » entre ciel et terre, la tête dans les étoiles et les pieds sur terre. Compatir, c’est ressentir comme l’autre c’est l’union, jusqu’à la fusion, car nous sommes issus de la même source et il n’y a pas de meilleur endroit qu’un Chapitre pour le dire. La patience C’est oublier le temps (le Temple est hors du temps, nous dit-on) ; c’est avancer, non avec passion car elle est destructrice, mais avec amour fraternel et oublier aussi sa montre, son portable, son estomac; c’est profiter de ces instants magiques que sont nos chapitres pour ressentir nos vibrations, s’en remplir, écouter pour apprendre encore et encore et après, quand l’heure est venue, continuer, toujours dans l’amour, par le partage du pain et du vin. 12 valeurs ; 3 X 4 ; 3 comme le plan, 4 comme le volume. Multiplions le plan par le volume pour obtenir l’infini, la sphère sans sa circonférence. Remplissons l’espace de nos comportements sans faille et à partir de là, essaimons ! Plus le temps passe donc, plus je comprends qu’être Chevalier c’est un art de vivre, une philosophie, une règle de vie qu’on s’impose tous les jours. Plus le temps passe, plus je comprends aussi que le sacré nous mettant hors du temps et de l’espace, va nous protéger du négatif rencontré dans le monde profane et nous remplir le corps et l’esprit. Plus le temps passe, plus je comprends pourquoi je suis aujourd’hui un Chevalier. Je suis Chevalier du Temple parce que je suis chrétien. Je suis Chevalier de l’Ordre Suprême et Militaire des Chevaliers de Salomon parce qu’au plus profond de mon être, je ressens que la chrétienté a besoin, aujourd’hui plus que tout, de notre aide, si petite soit-elle. Chevalier pour défendre et servir une certaine idée de la Religion (Religion de Religare, donc relier), sans extrémisme, dans son sens le plus général, sans exclusion aucune, et d’une certaine manière rejoindre l’idée de laïcité si chère à la France. Chevalier pour défendre La Liberté, liberté de pensée, libertés acquises, liberté d’être tout simplement. Chevalier pour apprendre, conserver et transmettre notre patrimoine historique et culturel. Chevalier pour servir, sans attendre de remerciements, sans être honoré, sans autosatisfaction : les félicitations reçues ne devant servir qu’à poursuivre le chemin ! Chevalier, non pour paraître, mais pour être. On ne s’improvise pas Chevalier : on le devient ! Je suis Chevalier par cette impulsion inconsciente qui vient de très loin et qui, un jour, m’a poussé à accepter l’invitation dont je parlais plus avant, puis à continuer dans cette voie. Je suis Chevalier certainement aussi parce que certains de mes ancêtres étaient des Templiers (chevaliers, hospitaliers) ayant combattu lors des croisades, certains mêmes fondateurs de l’Ordre du Temple, Pauvres Chevaliers du Christ, comme Geoiffroy de Saint Omer ou Robert de Craon, ou encore Grand Maître comme Robert de Vitré. Je suis Chevalier dans mon cœur, dans mon corps et mon esprit, dans mon comportement. Peut être aussi pour assurer une petite continuité dans la lignée des « de Créquy », famille française illustre dont je suis issu, dont des grands noms ont participé, chacun à leur façon, à l’histoire de France, entre autres : Raoul De CREQUY, Sire De CREQUY et de FRESSIN, Croisé, qui fut fait prisonnier à LAODICEE (Palestine), en 1147, et y resta 10 ans en captivité. Ses deux frères, Roger et Geoffroi y furent tués. Marié à Mahaut de CRAON. Jehan (ou Jean) VI, Sire De CREQUY, 25ème Chevalier de la Toison d’Or, serviteur du Roi Philippe Le Bon. Et beaucoup plus proche de nous, Gustave DECREQUY, Député de la République, mon grand père. Je suis Chevalier parce que je suis convaincu que la connaissance et la culture triompheront de l’ignorance. L’ignorance qui entraîne la peur. La peur qui génère la méchanceté, la médisance. Je suis Chevalier pour défendre les valeurs qui m’ont été inculquées, par mes parents tout d’abord (je suis fils d’enseignant), puis par l’apprentissage de la vie et enfin par l’appartenance à cette association initiatique et merveilleuse école qu’est notre Ordre. Egalement par la rencontre d’un Evêque qui m’a enseigné et qui m’a donné des sacrements. Je suis Chevalier pour travailler sur moi, un peu plus tous les jours. Et, en me modifiant, peut être arriverai-je à changer mon entourage. Je suis Chevalier pour apporter aux plus démunis, pour écouter les esseulés, bref, pour aider ceux qui sont dans la détresse, ceux qui sont dans le besoin. Car c’est en donnant, en partageant qu’on obtient la vraie richesse. Je suis Chevalier par réaction à tout ce que je vois dans le monde et autour de moi : Aimons-nous, bien au-delà de notre cercle. Je suis Chevalier par égoïsme aussi, je l’avoue ; car j’aime partager ces grands moments d’émotion lors de cérémonies d’armement, d’adoubement que nous vivons ensemble. Par égoïsme toujours parce que j’aime apprendre et m’enrichir au contact des vrais Chevaliers qui travaillent et donnent sans compter. Par égoïsme enfin quand je reçois un sourire ou un remerciement après avoir donné un chèque à une association caritative, aussi petit soit-il je me dis ainsi que je ne suis pas uniquement Chevalier pour « parader ». Je suis Chevalier et j’ai pour devoir de respecter mon engagement envers l’Ordre, envers mes Sœurs et Frères et donc, servir le plus longtemps possible cet idéal qui nous rapproche tous. Weiter ... Willkommen
- Grande cérémonie internationale | OSMCS
Große internationale Zeremonie 24., 25., 26. Oktober 2025 Alle diese Zeremonien sind für die Öffentlichkeit zugänglich, nach Reservierung Unterkunft und Verpflegung vor Ort nach Reservierung möglich Für weitere Informationen kontaktieren Sie uns bitte Freitagnachmittag: Waffenwache für zukünftige Ritter Samstagmorgen: Bewaffnungszeremonie – Ritterschlag Samstagnachmittag: Templertaufen Samstagabend: Konferenz Sonntagmorgen: Zeremonie zur Anerkennung der Ehe Einige Fotos